Décidément : entre Fort Boyard et Vaimalama Chaves, la relation est compliquée. Samedi 29 juillet 2023, la Tahitienne participait au jeu de France 2 pour la cinquième fois. Pour cette ultime participation (puisqu’elle pense avoir fait le tour du programme et ne compte pas y retourner), la jeune femme était venue en compagnie de son amoureux, le champion de VTT Nicolas Fleury. Les amoureux roucoulent ensemble depuis plusieurs années maintenant, ce qui n’a pas empêché Vaimalama d’être plutôt instransigeante avec lui !
Vaimalama Chaves s'agace envers son compagnon et critique Clarisse Agbegnenou dans Fort Boyard
Alors qu’il l’encourageait sur une épreuve d’équilibre, Nicolas Fleury a reçu un regard courroucé de la part de sa compagne, qui n’a échappé à personne. Rebelotte lors d’une épreuve où le champion de vélo avait les yeux bandés : Vaimalama devait le guider dans une pièce remplie de rayons lasers mais a échoué, non sans crispation.
Sur les réseaux sociaux, l’attitude de la reine de beauté envers son amoureux a été très commentée. Mais ce n’est pas tout : les internautes ont aussi été agacés par son comportement envers Clarisse Agbegnenou lors de l'épreuve de La maison de poupées, avec les araignées. “Arrête de faire semblant !”, a lancé la Miss à la championne olympique alors qu’elle se trouvait dans une cellule remplie d’arraignées.
Vaimalama Chaves s'excuse sur les réseaux sociaux
Vaimalama Chaves a regardé Fort Boyard ce samedi 29 juillet 2023 à la télévision… et a tenu à s’excuser pour son comportement. A demi-mots d’abord envers son compagnon Nicolas Fleury. “Je fais partie des gens qui n’aiment pas les gentils encouragements”, a-t-elle indiqué en story, à propos de son terrible regard noir à son amoureux lors de l’épreuve d’équilibre.
“Avec du recul je me dis que je suis vraiment nulle pour guider comme ça”, a ensuite écrit la tahitienne a propos de l’épreuve des lasers. Toutes mes excuses Nicolas, avec tout mon amour. (La prochaine fois tu m’écouteras ?)”. Enfin, Vaimalama a adressé une gentille pensée à Clarisse Agbegnenou : “J’ai osé lui dire ‘Arrête de faire semblant’ alors que j’irai jamais. C’est une femme courageuse que j’admire.” Excuses acceptées ?
