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    Don't F**k With Cats : Un tueur trop viral
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    33 critiques spectateurs

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    Julien C
    Julien C

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 25 décembre 2019
    A l'issue du visionnage, on a complètement oublié qu'il s'agissait d'un documentaire, d'une histoire vraie et atroce. On en ressort en ayant l'impression d'avoir vu un (bon) thriller, avec sa fin à laquelle personne ne s'attendait.

    Et c'est bien le seul reproche que l'on peut se faire : est-il normal d'être diverti par un documentaire aussi macabre ? Si on est en accord avec sa conscience, que l'on ne considère que l'histoire malgré le fait qu'elle se soit réellement produite, alors on se retrouve devant une excellente série-documentaire signée Netflix.
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    Elle m'a énervé cette série documentaire. A la fin ca nous fait la morale, "ne sommes-nous pas tous resposanbles d'engendrer des être narcissico-psychopathes comme Luka Magnotta (je trouve étrange que la série n'ait jamais fait mention que ce n'était pas son vrai nom mais un autre alias) ? Eteignez-votre écran et cessez de jouer leur jeu"
    Je pense que c'est plutôt ce genre de documentaire qui construit les mythes et les légendes des psychopathes que Magnotta. Il doit prendre un certain plaisir en ce moment à savoir qu'il est la vedette d'un docu de 3 heures.
    Pour le reste ? Une série névrotique et glauque, qui n'a jamais pour but d'explorer les recoins d'une vieille affaire ou d'offrir une vision analytique des personnages, mais qui se livre à un travail putassier. Ouep, rien de moins. On surfe sur toutes les vagues possibles de suspense, de pathos, de peur et on mythifie un névrosé pathétique.
    La mére, l'ami de la victime, rien de cela n'est utile ou informatif. Le documentaire n'a pas d'angle, d'approche. il souhaite juste tirer en longueur sur 3 heures un sujet vendeur. Et que dire de ses principaux protagonistes, les chasseurs de vidéo animale ? Qui est le plus pathétique entre eux et Magnotta ? C'est le film.
    PS : sans compter que le film ne nettoie même pas derrière lui spoiler: car quand la mère fait mention d'une deuxième personne (en réalité d'autres mains) sur une des vidéos, ca reste une piste inexplorée et laissée en suspens, qui sert juste d'alibi pour faire monter la sauce et rendre crédible la thèse du mentor Manny qui retombe comme un soufflé.
    Aulanius
    Aulanius

    180 abonnés 1 687 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 24 décembre 2019
    Honnêtement, je suis très déçu par cette mini-série que j'attendais depuis un moment. Un sujet glauque et malsain qui nous a cependant tous fasciné de près ou de loin. Tout le monde connaît cette histoire sur tout le globe. Et c'est là que viens la déception. Les images d'archives, le montage, la chronologie et le format court du programme sont vraiment efficace mais les intervenants sont d'un ridicule ... on dirait même des acteurs et ça casse toute la chose. On dirait clairement que tout est scenarisé pour nous faire un show à l'américaine. Toutes ses voix off, tous ses éléments étranges voire douteux, ses agents de police et/ou gouvernement, on dirait clairement un sketch et c'est dommage. J'ai trouvé que ça avait décribiliser tout ce sujet sur Luka Magnotta. Quand on compare avec celle sur le petit Grégory, nous sommes à des années lumières du même résultat. En fait, une partie de moi est content de l'avoir vu car ce fait divers et ce parcours m'a intrigué mais pour le contenu autant sur le fond que la forme, ce n'est pas une grande réussite. La fin est carrément digne d'un film très moyen sorti au CGR. Enfin bref, très mitigé. 10/20.
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    120 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 15 mars 2021
    Construit intelligemment, souvent affligeant à bien des égards, parfois tristement amusant, ce documentaire de 3 heures vous donnera plusieurs bonnes raisons de ne pas gâcher votre vie sur les réseaux sociaux.
    Stéphane D
    Stéphane D

    97 abonnés 2 050 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 25 décembre 2019
    Derrière se titre se cache une traque de folie entre un tueur hallucinant et un groupe de gens sur Facebook... qui ne devraient rien avoir à faire là dedans à se torturer le cerveau en regardant ces vidéos malsaines (comme les milliers d'autres curieux...). Des centaines d'heures à s'infliger un travail de policier en se traumatisant à vie pour si peu. La partie finale est édifiante (Basic Instinct).
    negussa
    negussa

    12 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    Quand j'ai eu fini le premier épisode, j'étais persuadée qu'il s'agissait d'un thriller raconté sous forme de documentaire et j'ai trouvé ça gonflé car l'histoire est vraiment épouvantable. Après quelques recherches sur Google j'ai réalisé que c'était une histoire vraie et je m'en suis souvenue petit à petit. L'histoire est très bien racontée et fait froid dans le dos.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    489 abonnés 931 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 24 décembre 2019
    Je n'avais jamais entendu parler de Luka Rocco Magnotta, escort-boy et acteur porno qui s'est trouvé une vocation en s'autoproclamant "premier tueur sur internet".
    Don't F..k with Cats pose donc les bases d'un true-crime parfaitement ancré dans la réalité de la génération 2.0 et de l'hyper-connexion. Chronologique, nous suivons d'abord les quelques internautes ayant croisé la route du psychopathe en ligne. La plongée est rude, glaçante tant l'empathie pour ces messieurs/mesdames-tout-le-monde qui se retrouvent face aux vidéos de torture de Magnotta.
    Puis la traque commence, à l'instar d'un thriller à twist. À ceci près que les participants ne sont plus policiers mais simples citoyens derrière leurs écrans. Il y a quelque chose de touchant mais déstabilisant dans la démarche.
    En ouvrant les vannes d'un réseau de communications pour relier les gens et partager la culture, c'est la chance de révéler l'altruisme de tout un chacun. Mais aussi la porte ouverte au pire de l'âme humaine. Vint alors la question insoluble : qui fabrique qui ?
    Le documentaire attend la fin pour vriller sur lui-même et adresser cette question aux spectateurs. C'est un peu dommage car elle se posait dès le début. Don't F..k with Cats reste prenant, choquant et émouvant. Il se révèle même édifiant sur le questionnement autour du pouvoir d'action et de nuisance d'un outil social qui fabrique les instruments de sa destruction. Je reste cependant circonspect devant certains choix narratifs.
    Pourquoi ne pas avoir consacré une partie toute entière à Luka Magnotta ? On a bien des aperçus de son passé, mais tout cela reste trop en surface malheureusement. Il y avait pourtant matière à rendre sa destinée encore plus horrible en contant à rebours les évènements qui y ont mené. Faute de mieux, on devra se contenter d'un "résumé" de sa vie assez sommaire, néanmoins instructif sur la psyché dérangé de Magnotta.
    Autre point gênant : le fait de le traiter comme un pur thriller au présent, en déroulant un suspense parfois douteux alors qu'un ton plus factuel et distant était plus à-propos selon moi.
    Quoiqu'il en soit, si vous êtes un inconditionnel du genre, sachez que celui-ci est parfois limite insoutenable, et moralement discutable. Pour les bonnes comme les mauvaises raisons.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 26 décembre 2019
    Super documentaire, j'ai tout regardé d'une traite. Je suis soulagée de savoir que Luka a pris perpet...
    Quand aux protagonistes de cette sombre histoire, on se demande à la fin du doc, quel a été le rôle de chacun.
    Catherine V.
    Catherine V.

    50 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 23 juin 2020
    ”Don’t F**k With Cats”, est une série documentaire américaine proposée par Netflix, fort intéressante à suivre, surtout si on a vu auparavant la même affaire traitée de manière bien différente dans ”Faites entrer l’accusé” diffusée le 26 mars 2017.

    Il s’agit de l’affaire Luka Rocco Magnotta , une jolie petite gueule qui ne parvient pas à sortir de l’anonymat (il sera même refusé comme candidat à une émission de TV réalité, comble du déshonneur pour un individu comme lui qui ne rêve que de célébrité). Il est prêt à tout pour qu’on parle de lui. Comble du narcissisme, il rêve de paillettes, de reconnaissance, il veut devenir une ”star” , et ce à n’importe quel prix... et il va le prouver (même diaboliquement).

    Comme certains l’ont écrit, son arrestation hyper médiatisée, avec tous les médias, les photographes, les télévisions, les caméras ”enfin” braquées sur lui, c’est l’apothéose. Son heure de gloire a sonné ! Il a vécu sa capture comme un acteur reçoit un oscar.

    Le documentaire proposé par Netflix est composé de 3 épisodes d’une heure (environ) chacun.

    La singularité du documentaire est que le spectateur suit non pas le ”parcours” de Luka Rocco Magnotta mais le cheminement de deux geeks, Deanna Thompson (Las Végas) et John Green (Los Angelès), qui vont créer un groupe Facebook afin de parvenir à débusquer ”qui” peut bien parvenir à se cacher derrière de pareilles ignominies.

    En effet, l’affaire démarre avec la mise en ligne d’une vidéo abjecte, atroce, de chatons martyrisés et tués. Images écoeurantes, inacceptables, qui seront supprimées quelques heures après leur mise en ligne (comme toutes celles qui suivront) mais tous ceux qui les ont vues ne vont avoir qu’une envie, obsessionnelle : trouver le responsable dont la vidéo ne montre qu’une partie, plutôt floue, de sa physionomie

    Tous ceux qui vont se mettre à le ”pourchasser” ne vont en fait provoquer chez lui que de l’exaltation.

    Grâce à tous les forums de discussions aujourd’hui possibles, grâce aux données maintenant de localisation, grâce à Google Maps, grâce à toutes les informations et échanges que le WEB peut fournir à tout le monde, il est devenu possible de traquer une personne sur le moindre plus petit indice qu’elle aurait pu laisser.

    C’est ce à quoi vont s’employer les deux principaux geeks précités et tous les internautes de leur groupe puisque ces détectives amateurs vont être, finalement, au courant des dangers que représente un individu tel que Magnotta, avant même les médias et avant même la Police.

    Celui-ci avertira à chaque fois qu’il va aller toujours ”plus loin” dans sa provocation démoniaque et il ira jusqu’au meurtre en direct de l’un de ses amants d’un soir, rencontré via un site gay.

    Je ne veux rien spoiler de son édifiant ”parcours” mais les ”cyber-détectives” ont alerté la Police de bonne heure sur les agissements dangereux d’un tel individu et celle-ci n’a pas bougé. Il a fallu attendre deux ans, et qu’il aille jusqu’au meurtre en direct, pour être enfin arrêté, après une traque internationale dans un cybercafé en Allemagne. En décembre 2014, Il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans.

    Il s’est marié en détention avec un codétenu en avril 2017, meurtrier lui aussi.

    La mère de Luka, Anna Yourkin, avait demandé sa mise en liberté en mai 2020, c’est tout récent, en raison de la pandémie du coronavirus.

    Le défaut dudit documentaire est d’avoir la forte impression que certaines scènes paraissent scénarisées et qu’il y a des zones d’ombres jamais élucidées (la scène avec le python notamment), chose particulièrement regrettable dans une affaire criminelle.

    De plus, la morale de l’histoire est maladroitement traitée car bien trop à la va-vite à la toute fin des 3 heures de diffusion, car si la forme peut apparaître comme séduisante, le fond, lui, aurait été encore plus intéressant à approfondir.

    En effet, nul ne peut s’interdire de penser, du moins je le crois, que le remède, peut être, fut pire que le mal.

    Traquer un tel personnage, lui accorder de l’importance, en faire quelqu’un dont on parle, les cyber-détectives n’ont pas réalisé une minute que c’est ce qu’il souhaitait avant tout, allant de plus en plus ”loin” dans la provocation pour faire encore plus ”parler de lui”.

    Cet individu qui n’est que méprisable, il n’aurait mérité que du dédain.

    Le mépris est la forme la plus subtile de la vengeance (Baltasar Gracian).
    c'est pas mal
    c'est pas mal

    10 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    le titre est intrigant et on veut en savoir plus, on est assez pris dans cette histoire quand on ne connait pas tous les ressorts du net
    Guillaume
    Guillaume

    96 abonnés 1 545 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 12 novembre 2020
    Si l'histoire est connue, surtout dans notre contrée, sa mise en forme particulièrement scénarisée la rend assez captivante à (re)vivre de l'intérieur.
    Le spectateur n'apprend pas grand chose, mais la forme enrobe subtilement le fond. Bravo, c'est bien senti.
    Noam ???? D
    Noam ???? D

    60 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    documentaire tres prenant, mais c est vrai que l on parle trop de Magnotta et pas assez de sa victime comme le dit l un des temoins.Et puis l une des investigatrices le dit aussi avec ce doc on donne encore de l importance a ce monstre mais bo il est bien monte et nous donne des informations que l on ne connaissait pas.
    jthuil
    jthuil

    10 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 25 décembre 2019
    Un reflet assez affligeant de notre société... et dans lequel on finit par se reconnaître !!! Jugez plutôt : une bande de beaufs américains, scandalisés par des vidéos de meurtres de chatons (si si, c'est vrai), et n'ayant pas grand chose d'autre à faire, aimeraient bien faire justice eux-mêmes (sans oser nous dire comment) et se lancent collectivement dans une sorte de chasse aux sorcières sur le net. spoiler: Et ils finissent par la trouver, la sorcière... en la personne d'un abruti de psychopathe qui ne tue pas que des chatons, finalement, mais tellement narcissique, qu'il ne résiste pas longtemps à l'idée de dévoiler son identité et de se faire prendre par la police, histoire d'avoir son quart d'heure de gloire. Raconté comme ça, c'est consternant, il faut bien le dire. Mais finalement, les beaufs en question ne rechignent pas à l'idée d'aider un peu les flics (plutôt à la ramasse, d'ailleurs) et
    on se laisse volontiers prendre au jeu de cette traque rythmée, racontée par des personnages qu'on croirait issus d'un film des frères Coen, de plus en plus attachants. Mieux : pour nous rabattre le caquet, ces loulous ont la bonne idée de nous rappeler que nous, spectateurs voyeurs, venons de gaspiller trois heures à nous délecter de cette histoire bien glauque... et bien conne... Alors ?? C'est qui, le beauf ??? Bien joué les Yankees ;)
    Marika1004
    Marika1004

    11 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    Documentaire très à l'américaine sur une histoire vraie qui fait froid dans le dos. Le reportage est bien fait pour comprendre la traque sur internet mais donne froid dos car on ne comprend pas bien la psychologie du tueur. Il y aurait même une certaine fascination des enquêteurs. On en sort dérangé car le reportage est présenté comme un divertissement.
    Audrey L
    Audrey L

    568 abonnés 2 443 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 17 février 2022
    Pour commencer : âmes sensibles, demi-tour. Voici le documentaire retraçant la traque d'un psychopathe se mettant en scène dans des vidéos de massacres d'animaux (et homme), par un groupe d'anonymes (comme la police s'en fiche...). Même si l'acte de tuerie n'est pas montré dans le documentaire, on en voit le début et la fin, on entend ce qu'il se passe, les personnes interviewées nous narrent l'action (avec beaucoup d'émotions), et de notre côté on a fondu en larmes, écœuré par tant d'horreur, de cruauté pure et gratuite qui amuse ce monstre jouant avec les chats avant de les massacrer : on ne sait même plus si l'on pleure de tristesse ou de colère. On suit les trois épisodes que compte cette mini-série avec l'envie avide de savoir si cet ignoble être s'en est sorti, ou si on l'a attrapé (on ne connaissait pas les faits divers, la surprise a été totale), et surtout ce qu'il en est de son jugement si tel est le cas. On ne nomme pas ce coupable, volontairement, puisque le documentaire nous le fait bien comprendre : la popularité est sa motivation, donc il ne mérite que l'anonymat pur et simple. D'ailleurs, il s'agit de la critique finale faite au spectateur par ce documentaire : certes, les assassins cherchant la notoriété n'ont pas attendu Internet pour proliférer, mais plus les gens regardent, plus ils ont l'impression d'exister... N'importe quel média qui donne du crédit à un psychopathe et le diffuse est une tentation à faire plus, ou à s'y mettre pour obtenir son quart d'heure de gloire (un bad buzz). Le Dark Web en est l'apogée actuelle. On se confronte alors au dénuement des autorités du Web qui n'ont pas écouté les cris d'alerte des citoyens, qui sont souvent les derniers à voir les vidéos choquantes, qui n'ont pas de moyens suffisants pour être efficaces. Mais si les personnes qui se sont intéressées au meurtrier l'ont encouragé (contre leur gré) à réitérer, elles ont surtout permis son incrimination, un mal pour un bien, dirons-nous, tandis qu'on est à peu près sûr qu'à laisser faire la justice, spoiler: il s'en serait tiré avec un constat de démence (heureusement que les anonymes étaient là pour prouver que la "défense Manny" était un joli air de flûte...).
    On aurait seulement aimé que Netflix censure un peu plus les vidéos (le regard du chat noyé nous hante encore...) pour vraiment respecter son intention de ne pas apporter de crédit à ce genre de contenu, et on aurait aussi apprécié qu'ils ne donnent pas la parole à la mère du tueur qui se ridiculise plus qu'autre chose (elle est complètement aveuglée par l'amour de son enfant, au point de croire des airs de pipeaux qui cassent les oreilles, à être aussi faux). Un brin trop de sensationnalisme, mais le fond y est : ultra-choquant, donnant la furieuse envie de voir le dénouement (une forme de catharsis, encore qu'on aurait été vraiment plus sévère...), et qui nous rappelle surtout l'essentiel : pas touche aux animaux.
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