Avis Miniaturiste

A l'âge d'or de la peinture hollandaise.......l'histoire et le jeu des acteurs nous transportent. Tout est sublime: Décors, costumes, jeux de lumière, accords de couleurs, cadrages, une petite dose de paranormal savamment distillée.....le temps est suspendu. Certes les amateurs d'actions seront peut-être frustrés mais les épicuriens et esthètes se régaleront, c'est bien simple en a envie de lécher l'écran à chaque plan!

Miniaturiste raconte le Amsterdam du 17e siècle au prisme idéologique de notre époque. Ainsi le féminisme et le multiculturalisme sont des thèmes importants de la série pour plaire à un certain public incapable de se projeter dans le passé. Quelle étroitesse d'esprit ! En effet cela ne reflète absolument pas la réalité historique. C'est mensonger. C'est un peu faire une révolution culturelle que d'imposer l'imposture ou quand une série se fourvoie par idéologie. La distribution est calamiteuse. Cela me fait penser au désastreux, Les Jardins du roi d'Alan Rickman avec Kate Winslet, qui ne reproduisait pas la société française de l'époque, mais s'enfermait avec stupidité dans des codes anglais pour décrire ce qu'il y a sans doute de plus français dans notre Histoire avec Louis XIV. On cherchait en vain l'esprit français comme on cherche en vain la dérision, la grivoiserie, la liberté des mœurs des Hollandais des Provinces-Unies de cette époque. Faut-il rappeler Descartes ? Toutes les œuvres de Descartes furent d’abord publiées aux Pays-Bas. Mais peut-être que pour l'auteure de la série, Jessie Burton, Descartes est un obscurantisme, alors qu'il est le fondateur de la philosophie moderne. Rien que ça ! Entre Jessie Burton et René Descartes, mon choix est vite fait. On voit l'absurdité de l'auteure et des producteurs de The Miniaturist. Cela ne veut pas dire que tout était parfait dans les Provinces-Unies, mais il faut se remettre dans le contexte de cette époque, et dans les espaces de liberté qui pouvaient exister. Ce n'est pas pris en compte dans la série et Jessie Burton nous raconte des sornettes. Si au moins les producteurs de la série avaient fait appel à des acteurs des Pays-Bas. C'est une faute d'être passé à côté d'une actrice comme Carice van Houten, la formidable héroïne de Black Book de Paul Verhoeven, qu'on a pu voir aussi dans Games of Throne, pour nous imposer des acteurs coincés. Vous avez compris ! On n'ose imaginer quel résultat formidable si Paul Verhoeven avait réalisé cette série. Quant à Anya Taylor-Joy, elle perd tout son charme et sa beauté avec cette blondeur qui l'enlaidie. Elle devient banale. C'est pour le moins paradoxal pour une actrice qui ne l'est pas. Quant à l'intrigue : qui peut croire sérieusement aux enchaînements de situations improbables qu’entraînent cette maison de poupée ? Quelle catastrophe cette série !

J'adore. On est plongé dans l'ambiance de cette époque, dans son esthétique si particulière et pourtant familière.
J'ai accroché dès le depart. C'est envoûtant.

J'ai regardé à cause d'Anya Taylor Joy, l'actrice du jeu de la dame. J'ai été agréablement surpris par la qualité de cette série. Les costumes d'époques sont magnifiques et l'intrigue du miniaturiste qui sait tout sur la famille Brandt est vraiment prenante. On est plongé dans l'histoire dès le début et jusqu'à la fin.
Je recommande fortement

ont aurait aimé une saison de 10 épisodes dommage. premier constat le doublage français est d'une absurdité sans non entre les voix complètement diférente des voix originaux et le manque carément de l'accent anglais, le montage a la truelle pour une chaine belge(a tel point que la version française est en trois partie au lieu de deux), la VO est donc très conseillé surtout quand ont veux s'imerger dans cette époque, les tennues traditionel aussi font vite tache et de très faibles qualité, ou meme un jeux d'acteur vraiment moyen ont sent vraiment la volonté de faire des économies sur le budget de la série dommage tout est tronçonné pour faire des éconnomies de budget, seule l'actrice principale s'en sort avec les honneurs car elle a joué dans des grand film comme the witch sortie la meme année. détail peu visible pour le grand public il faut énormément s'y connaitre pour voir les défauts dues aux économies. l'histoire est elle aussi très fade: une vague histoire de mariage qui tourne mal meme si ont sent bien qu'il y a un coté sorcière avec une mystèrieuse fille envoyant des collis magiques, le manque budget ainci que le manque de motivation plombe cuellement cette mini série (sa se voit dans le jeux d'acteur ainsi que le scénario) l'incompréhention est TOTALE quand spoiler: elle veux s'enfuir avec lui et le prend dans ses bras avouant par la meme occasion qu'elle aime vraiment son mari
ce qui n'as pas de sens spoiler: au vu de se qu'il lui a fait subir
pas terrible.

Excellente série. J'espère qu'elle sera suivie par beaucoup d'autres de cette qualité. J'aime le fait qu'elle se situe dans l'univers de Vermeer et qu'elle abordé le sujet des sodomites, très peu traités dans les films d'époque. J'aime sa qualité visuelle, les pièces réalisés par la miniatutiste, l'histoire...

J'ai bien aimé l'ambiance de la série, le fait que cela se passe à Amsterdam aussi. En revanche il n'y a pas assez de plans larges sur la ville, peut-être pour une raison de budget. Dommage. Sinon, la série est également trop courte à mon goût et ne sonne pas toujours vraie au niveau des situations et des réactions des protagonistes.

Une intrigue surpenante, des décors et costumes fastueux,des acteurs parfaits et surtout, une ode à la tolérance.

Miniaturiste raconte le Amsterdam du 17e siècle au prisme idéologique de notre époque. Ainsi le féminisme et le multiculturalisme sont des thèmes importants de la série pour plaire à un certain public incapable de se projeter dans le passé. Quelle étroitesse d'esprit ! En effet cela ne reflète absolument pas la réalité historique. C'est mensonger. C'est un peu faire une révolution culturelle que d'imposer l'imposture ou quand une série se fourvoie par idéologie. La distribution est calamiteuse. Cela me fait penser au désastreux, Les Jardins du roi d'Alan Rickman avec Kate Winslet, qui ne reproduisait pas la société française de l'époque, mais s'enfermait avec stupidité dans des codes anglais pour décrire ce qu'il y a sans doute de plus français dans notre Histoire avec Louis XIV. On cherchait en vain l'esprit français comme on cherche en vain la dérision, la grivoiserie, la liberté des mœurs des Hollandais des Provinces-Unies de cette époque. Faut-il rappeler Descartes ? Toutes les œuvres de Descartes furent d’abord publiées aux Pays-Bas. Mais peut-être que pour l'auteure de la série, Jessie Burton, Descartes est un obscurantisme, alors qu'il est le fondateur de la philosophie moderne. Rien que ça ! Entre Jessie Burton et René Descartes, mon choix est vite fait. On voit l'absurdité de l'auteure et des producteurs de The Miniaturist. Cela ne veut pas dire que tout était parfait dans les Provinces-Unies, mais il faut se remettre dans le contexte de cette époque, et dans les espaces de liberté qui pouvaient exister. Ce n'est pas pris en compte dans la série et Jessie Burton nous raconte des sornettes. Si au moins les producteurs de la série avaient fait appel à des acteurs des Pays-Bas. C'est une faute d'être passé à côté d'une actrice comme Carice van Houten, la formidable héroïne de Black Book de Paul Verhoeven, qu'on a pu voir aussi dans Games of Throne, pour nous imposer des acteurs coincés. Vous avez compris ! On n'ose imaginer quel résultat formidable si Paul Verhoeven avait réalisé cette série. Quant à Anya Taylor-Joy, elle perd tout son charme et sa beauté avec cette blondeur qui l'enlaidie. Elle devient banale. C'est pour le moins paradoxal pour une actrice qui ne l'est pas. Quant à l'intrigue : qui peut croire sérieusement aux enchaînements de situations improbables qu’entraînent cette maison de poupée ? Quelle catastrophe cette série !

Seulement trois épisodes pour cette série très réussie. Rythme , intrigue, comédiens et décor : il n'y a rien à jeter . Le rythme en trois temps permet de voir évoluer les différents aspects des personnages en découvrant leur milieu commun . La réalité des rapports sociaux est peut-être distordue par rapport à la réalité de l'époque mais on s'en accommode sans problème . Je découvre également un casting que je manquerais pas de suivre . Ne manquer pas de découvrir Miniaturiste !