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    Le Tableau volé
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    3,7
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    210 critiques spectateurs

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    DRI75
    DRI75

    9 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2024
    Une comédie agréable, conduite par un scénario bien ficelé, de bons acteurs dans leurs rôles et leurs dialogues, qui déroule l’intrigue tout en préservant le suspense et avec des tâches d’un l’humour fin.
    Le scénario abouti on dévoile un excellent équilibre dans les différentes scènes pour la liberté narrative de cette histoire vraie. Les personnages finissent par être touchants dans leur respect d’une certaine humanité.
    J’ai passé un délicieux moment.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    110 abonnés 493 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mai 2024
    Alors qu'il travaille comme commissaire-priseur dans une salle de ventes parisienne où il est mis sous pression, André est interpellé par une avocate à Mulhouse. Un tableau extrêmement précieux et perdu depuis des décennies aurait été retrouvé chez un particulier. André fait appel à son ex-femme avec qui il a gardé des liens professionnels forts pour l'aider dans son expertise de l'oeuvre. En salle le 1e mai.

    spoiler: "Le tableau volé" a quelques bons points à faire valoir. Les acteurs sont crédibles et on prend Plaisir à découvrir le binôme Lutz-Drucker qui crève l'écran. Malheureusement, j'ai trouvé l'intrigue plutôt confuse, probablement à cause de coupes brutales lors du montage. Certains personnages ont des révélations ou des comportements qui m'ont parus rapides, quand ce n'est pas tout bonnement inexpliqué. De plus, les scènes humoristiques sont basées sur le décalage paris - province, ce qui est un peu lourd à la longue. On remarquera une apologie de l'art dans sa forme la plus capitalistique et snob, où seule la valeur marchande compte.
    Régine T
    Régine T

    7 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2024
    Egon Schiele, salle des ventes. Un impeccable jeu d’acteurs, remarquable Alex Lutz. Sur fond du marché de l’art où se brassent des millions, des rapports familiaux, collégiaux et amoureux se tissent avec le doigté du réalisateur.
    Jul93
    Jul93

    6 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2024
    Le film est si décevant. Les dialogues sont tartes même si les acteurs ne sont pas mauvais.
    La mise en scène tristement fade. Le montage lourd : on ouvre et on ferme une porte à chaque séquence. Ça masque peut-être le fond du film qui est assez vide. Si peu à dire sur le monde. A part une petite morale de fin digne d’une dissertation de 3 eme.
    John Doe
    John Doe

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Bon jeu d’acteur d’Alex Lutz et Lea Drucker. Je m’attendais à un film dont l’intrigue reposerait sur “Le Tableau Volé”, c’est en réalité une caricature sociale dans laquelle est opposé vulgairement prolétariat et élite culturelle.
    Martin, est si vertueux qu’il en devient niais, Aurore est sans intérêt voire irritante
    Il y a trop d’intrigues inintéressantes et trop peu de focus sur LE TABLEAU et sa vente qui mériteraient bien plus de développements. Les coulisses du marché de l’art ne sont qu’abordées en surface. Trop tôt dans le film, le doute est levé sur l’authenticité du tableau et ce qu’il en adviendra.
    PLR
    PLR

    414 abonnés 1 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2024
    Fil conducteur du scénario, la découverte fortuite (une maison vendue en viager avec son contenu) d’un tableau oublié, précédemment spolié dans les heures les plus sombres de l’Histoire. Le jeune propriétaire, ouvrier d’usine de son état, très éloigné du monde de l’art entend d’abord ne pas vouloir tirer bénéfice de ce tableau. Puisqu’il est volé, le rendre aux héritiers puisqu’il y en a (9 exactement). Pour qu’il ne soit pas lésé à son tour, le (déjà) riche héritier parmi les descendants de l’auteur de l’œuvre décide de lui faire bénéficier d’une part (c'est dans la bande-annonce, je n'occulte donc pas ça). On va donc suivre les péripéties et interrogations pour cette mise en vente, presque façon trhiller. Autour de ce thème central dans un milieu d’affaires très spécifique, vont graviter ou s’insérer des sujets accessoires à partir des personnages mis en scène. Pour se convaincre qu’il s’agit d’un très bon film, il suffit de constater que le complexe cinématographique a choisi sa grande salle pour la programmation, qu’il y a du monde, et qu’à la sortie des spectateurs qui ne se connaissent pas engagent spontanément la conversation en soulignant leur satisfaction d’avoir passé un très bon moment. Une très grande maîtrise du réalisateur scénariste. Ce que le cinéphile savait déjà.
    sylounette
    sylounette

    40 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2024
    un scénario ciselé et étonnant dans le domaine de l'art que nous connaissons mal..
    chaque personne, névrosée, garde sa part de mystère même si les relations entre les protagonistes sont fortes .
    Tous les univers sont évoqués, du requin à la tête des galeries d'art, des commissaires-priseurs, des experts ou des spécialistes ainsi qu'une famille ouvrière qui est très éloignée évidemment de ce monde là.
    Cela donne un film passionnant, émaillé d'humour avec de belles punch-lines, Alex Lutz et Léa Drucker sont magistraux.
    Michel C.
    Michel C.

    244 abonnés 1 390 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2024
    Une comédie très sympathique inspirée d'une histoire vrai, assez incroyable. Pascal Bonitzer peut ainsi nous tenir en haleine à la façon d'un thriller bien agréable à suivre, tant par le sujet, que par un casting de belle facture, pour que ce qui est du couple divorcé mais très complice dans ce métier d'expertise et de montage de ventes aux enchères : Bertina ( Léa Drucker ) et André ( Alex Lutz ). Deux jeunes femmes apportent une fraîcheur et un rythme soutenu offrant même du suspense et un intérêt constant : Maitre Egerman ( Nora Hamzawi ) et Aurore ( Louise Chevillotte ). J'adore le jeu pétillant de ces deux dernières, dans des rôles impeccables, et l'interprétation des deux premiers, confortablement installés dans leur expertise et leur rigueur. Même si on ne voit pas grand chose de l'Alsace, elle est bien là, au centre de l'intrigue initiale. Pour le jeu très subtil des acteurs, leur humour dégagé par les dialogues, et les attitudes, je vous le recommande chaudement cette comédie rafraichissante.....!!**
    alexis01
    alexis01

    3 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2024
    J’ai passé un excellent moment lors de la projection du Tableau Volé. Le sujet est passionnant, les acteurs sont super, les dialogues sont très bien écrits. La fin est très belle,
    Par contre, certains mystères, notamment autour du personnage de la stagiaire, ne sont pas élucidés à la fin, ce qui laisse un sentiment assez étrange.
    C’est qui cette fille??? Pourquoi ment-elle tout le temps?
    Pourquoi le réalisateur construit-il toute une part du récit autour d’elle sans aller jusqu’au bout de son idée? J’ai comme l’impression qu’il manque un bout de film.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 436 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2024
    A travers la découverte fortuite d'un tableau de E.Schiele ( peintre autrichien Dcd en 1918 de maladie à 28 ans) par un ouvrier, Bonitzer propose une réflexion sur le détournement de l'art par la société marchande, la spoliation des juifs pendant la seconde guerre mondiale, l'aliénation au travail, le règne des apparences et le mensonge comme tentative de fuir un parcours existentiel insatisfaisant. Mais pas seulement ( selon moi), comme on le verra plus loin.


    On suit avec intérêt ce " tableau volé" dont la distribution est largement dominée par Alex Lutz, même si la mise en scène est un peu trop convenue.

    A y regarder de plus près " le tableau volé" est pourtant plus profond qu'il n'en a l'air. Sans doute est il une proposition de réconciliation générale afin de trouver la paix, avec les autres et par conséquent avec soi-même.

    Le personnage de la personne âgée du tout début, bourgeoise riche mais au caractère toxique, malveillant, épouvantable ( sa cécité nous éclaire de façon symbolique sur son "aveuglement" à l'égard de sa compréhension des rapports humains) constitue l'antithèse des scènes de réconciliations finales. Le commencement du film éclaire le sens de sa fin.

    " Le tableau volé" constitue une sorte de foi en l'humanité qui permet aux miracles de se produire. Hommage aussi au potentiel rôle réconciliateur de l'art.
    Nicole W
    Nicole W

    2 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2024
    Très bon film, belle interprétation des comédiens qui sont très investis sur un scénario épatant, à voir++
    calloc
    calloc

    4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mai 2024
    sans plus, des personnages caricaturaux, des situations faciles.... bref, un film du dimanche soir à la télé, un téléfilm. On sort de la salle en se disant qu’on a passé un moment OK…. et qu’on a aussi perdu un peu son temps.
    Hélène S
    Hélène S

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mai 2024
    Très bien joué, très bien réalisé, donne en plus envie de courir au MAM ou un peu plus loin à Bâle si riche en musées ou à Cologne au Ludwig pour voir de l’expressionnisme allemand ! Et pour cela, pas besoin heureusement d’avoir trouvé un Rembrandt dans son grenier… Quelles belles surprises aussi que les rôles de Martin (ce jeune homme ira loin) et du père d’Aurore (j’ai découvert au générique de fin qui se cachait derrière lui ; il est déjà, lui, allé très loin mais c’était un plaisir de le retrouver ici !).
    Qlj78
    Qlj78

    14 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Mais quelle horreur, ce film ! Non seulement on s'ennuie tout du long à suivre spoiler: un commissaire-priseur sexiste qui ne cesse de rabaisser sa stagiaire comme si elle était une gamine, mais en plus la stagiaire elle-même est une mythomane ratée qui évite et dénigre sa propre famille pour arranger ses propres intérêts ! Je ne plaisante pas ! À un moment, elle va jusqu'à mentir et dire à un violeur qu'il est son père et le vrai père a dû faire un test ADN de 89 € !


    En plus de cela, le film est raciste contre les noirs avec spoiler: une cliente du début qui dit du mal de sa petite-fille juste car elle sort avec...
    C'est affreux de voir ça encore dans un film de 2024 !

    Le pire, c'est que le type qui retrouve le tableau qui a été volé décide de spoiler: garder sa même condition à la fin et continuer à bosser dans une usine toute pourrie de nuit. Déjà qu'il a des potes complètement fous et qui ne le respectent pas,
    c'est le pompon, là !

    Puis spoiler: l'ex-femme du commissaire priseur se tape la notaire du type qui a retrouvé le tableau, sans le moindre développement, on te le sort juste comme ça.


    Si ça c'est une histoire vraie, alors le monde est hélas devenu bien triste et n'importe quoi, je suis désolé. Tout est devenu tricherie, mensonges, façade dans le domaine de l'art au détriment des personnes qui s'en passionnent comme moi. Film à fuir par tous moyens !
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2024
    Le film de Pascal Bonitzer ne respire pas la modernité dans la forme, c’est sur. Il suffit de voir la bande annonce, l’affiche ou même le titre, tout est simple, académique, presque un peu daté. S’il a la bonne idée d’être court (1h30) et plutôt sans temps morts, on est quand même devant un film sans aucune aspérité. Pas de bande originale notable, pas de montage audacieux, d’effets de caméra originaux. Pascal Bonitzer efface totalement son travail derrière son sujet, et après tout pourquoi pas. Il y a parfois des réalisateurs qui « se regardent filmer », alors pourquoi pas un peu de simplicité et de modestie. C’est un peu pareil pour le casting, emmené par un Axel Lutz assez convainquant. De prime abord détestable, imbu de sa personne et cassant, spoiler: il finit par s’adoucir au fil des scènes
    . Et je trouve qu’il est finalement assez crédible dans ce rôle de commissaire priseur. A ses côtés, on trouve Léa Drucker, qui me parait un tout petit peu sous-employée, et Nora Hamzaoui. Cette dernière, qui fait le trait d’union entre deux mondes, est assez fantasque pour susciter la sympathie tout en restant crédible. Et puis il y a Arcadi Radeff, dans le rôle du jeune Martin, écrasé et terrifié par ce tableau accroché aux murs dont il a hérité et qui découvre, effrayé, ses origines, et aussi le pouvoir destructeurs de l’argent colossal qu’il représente. Il aurait peut-être pu être écrit un peu autrement ce rôle. Non pas que son honnêteté paraissent peu crédible, pas du tout. Mais on regrette un peu qu’e le personnage le plus honnête du lot ne soit pas assez mis en valeur, tout bonnement. Le personnage le plus étrange reste la stagiaire Aurore, incarnée par Louise Chevillote. spoiler: Menteuse pathologique, cette jeune femme semble prendre une place démesurée dans le film. On comprend mal, même une fois le film terminé, pourquoi le scénario a pris autant de temps sur elle, ses états d’âmes, ses problèmes familiaux. C’est comme une histoire dans l’histoire qui prendrait un peu trop de place.
    Le scénario est basé que le choc de deux mondes qui n’ont d’habitude aucune raison de se côtoyer. D’un côté, le monde les marchants d’arts, des ventes aux enchères, des millions, des rémunérations au pourcentage et des droits de succession. De l’autre côté, le monde ouvrier, des gens qui sont amis, jouent aux cartes, jouent aux jeux de la Française des Jeux, et grattent du Francis Cabrel sur leur guitare. La rencontre entre ces deux mondes, dont l’un est présenté comme le négatif de l’autre, est un choc pour le pauvre Martin. Lui est honnête, aime sa mère et ses amis, aime sa vie et son travail et il se retrouve propriétaire d’un tableau volé par les nazis, spoiler: qui vaut 10 à 12 millions d’euros
    et qui vient faire entrer dans sa vie l’argent, mais aussi la convoitise, le double jeu, la trahison et les magouilles. Ce désarroi qui est le sien, et qui parfaitement compréhensible ,il est assez bien rendu je trouve, par exemple spoiler: dans le fait qu’il laisse croire à ses amis qu’il est estimé à 12 000 € et non à 12 millions, pour espérer mieux gérer la situation.
    De l’autre côté, le monde des marchants d’arts est montré sans aucune complaisance. C’est objectivement un monde que 99% d’entre-nous ne connaissent pas, et qui une fois le film terminé, n’a pas été présenté sous un jour très favorable. Entre les deux, il y a le personnage de Maitre Egerman, commissaire priseur mais dans la région de Mulhouse, elle a la fraicheur de la province, sa spontanéité, et en même temps c’est elle qui fait ce qu’il faut pour que Martin ne soit pas oublié au passage. Vrai trait d’union entre les deux mondes, trait d’union indispensable pour les deux partis, je me demande si son rôle n’est pas au final plus important que celui de Léa Drucker. « Le Tableau Volé », film sans prétention mais soigné et instructif, vaut essentiellement pour le coup de projecteur sur un monde presque inconnu, mais aussi pour la mise en avant de l’honnêteté. Par le personnage de Martin, c’est toute l’honnêteté des gens simples qui est mise à l’honneur. D’aucun pourrait trouver cela naïf, moi je trouve cela assez rafraichissant.
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