Avis : Godzilla Minus One - Page 8

Un gran coup dans le visage. Ce film n'est pas un film d'action. Ce film est un film dramatique, provoquant plein d'émotions.

un film très fort très émouvant très bien réalisé surtout en sachant le budget très minime comparé aux autres godzilla. bref une belle découverte qui montre encore une fois que les japonais méritent bien leurs places dans les plus grands pays du cinéma.

Un très bon film d action , catastrophe, très palpitants avec de très bon effets spéciaux.
On ne s ennuie pas, et on voit à travers ce film les ravages de la guerre et surtout le symbole godzilla qui s apparente à une bombe nucléaire qu ils ont été les malheureuses victime lors de la fin de la seconde guerre mondiale.
J emmetrais un petit bémol les scènes hors action sont un peu larmoyantes même trop parfois avec une musique assez sirupeuse qui accentue tout cela.

L'un des meilleurs films du monstre Godzilla. Tout est parfait dans le film. L'histoire, les personnages.
Un grand bravo pour la grande qualité des effets spéciaux de Godzilla. Nettement meilleur que certains films à gros budgets.
J'ai juste un reproche à Godzilla… Son rugissement je m'attendais à beaucoup mieux.

C'est un très bon film de Kaiju, les scènes d'actions sont gigantesque et impressionnantes. L'équilibre avec les apparitions de Godzilla est maîtrisé.

Godzilla Minus One: Quand Godzilla joue à cache-cache avec les kamikazes

Dans un Japon post-Seconde Guerre mondiale aussi déprimant qu'un lundi matin pluvieux, "Godzilla Minus One" nous plonge dans les aventures de Koichi Shikishima, le kamikaze qui a survécu à une rencontre avec Godzilla, la créature géante qui fait regretter aux monstres de Monstropolis de n'être que des peluches mignonnes.

Koichi, alias le survivant du feu nucléaire le plus malchanceux du monde, décide de construire une nouvelle famille avec Noriko et Akiko. C'est comme "Les Feux de l'Amour" avec des reptiles radioactifs, des mines explosives et une dose saine de névroses. La seule chose manquante, c'est un certain Godzilla pour pimenter les disputes familiales.

Après avoir laissé derrière lui son rôle de kamikaze, Koichi se lance dans une nouvelle carrière en tant que démanteleur de mines. Parce que, soyons honnêtes, désamorcer une bombe nucléaire, c'est une promotion dans le monde des métiers dangereux. Peut-être que Batman devrait envisager cette reconversion.

Le retour de Godzilla au Japon s'accompagne de son lot habituel de destruction et de chaos, parce que rien n'égale un monstre géant pour gâcher une soirée Netflix and Chill. Ce Godzilla, plus féroce que le troll moyen sur Internet, nous rappelle que les créatures radioactives n'ont pas de compassion, même pour les déménageurs de mines sympas.

Dans "Godzilla Minus One", les personnages sont aussi bien développés que les plantes dans Super Mario Bros après avoir pris un champignon. Koichi, Noriko et Akiko forment une famille dysfonctionnelle qui vous fait oublier que le film s'appelle "Godzilla" et non "La Vie de Famille Radioactive". Ryunosuke Kamiki brille dans le rôle de Koichi, offrant une performance aussi puissante que le cri de Godzilla lorsqu'il marche sur des LEGO.

"Godzilla Minus One" est un cocktail explosif de drame, d'action et de monstres géants, servi avec une touche de nostalgie post-apocalyptique. Ce film japonais réussit là où d'autres échouent, en nous offrant des personnages attachants et une dose de terreur kaiju qui vous fera penser que les tortues ninjas ne sont que des amateurs. Un conseil, prenez des pop-corns, mais aussi un abonnement à une thérapie post-film, car même Godzilla aurait besoin d'une séance après ce spectacle.

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Film regardé en famille. Enfin un blockbuster sur LE super Kaijū, qui a une âme. Surtout quand on connais le budget, qui a été accordé a se film +- 15 millions. Ils ont du puisé dans leur réserve, pour réalisé se film.
spoiler: Dans le film, on peut voit une chasse au Godzilla en chaloupe, ca parait inversable dit comme ca. Mais le scénario, tiens la route.

Même la trame principal du film, et sympa a suivre. spoiler: Le fait, que l'on se retrouve, dans un japon déchiré par la guerre. Le Japon est désarmé, mais va falloir, rapidement qui se réarme, afin d'ENFIN gagné une guerre.
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On est loin de blockbuster et 150 million qui n'ont rien a dire, et qui crash au box office.
J'ai presque envie de dire, le fait d'aller voir Godzilla Minus One, est vote protestataire, a l'industrie du divertissement.
J'espère que Godzilla Minus One, sera un phare dans la nuit, et qu'il est la preuve, que quand on veut, on peut. Même avec 0 moyen, suffi, juste de laissé porté le spectateur, et la magie du cinema faire le reste.

Alors pourquoi pas 5, il faudrait, que ca soit un chef d'ouvre, et pour y arrive, faut aller au oscar, et la gagné cette statuette.

C'est le meilleur film que j'ai vu depuis au moins 1 an! Un combat monstre contre lequel se livrer tout une population, dans le contexte de l'après-guerre où les personnages se serrent les coudes pour survivre et se reconstruire.
Touchante et époustouflante.

franchement trop long . je n’arrive pas à comprendre la note moyenne à 4,2 .
on ne voit quasi pas godzilla, c’est l’histoire d’une famille japonaise et godzilla en second plan.
ne donne pas envie de le revoir. point positif ,certains effet avec godzilla sont super .

Voici une nouvelle version de l'histoire du monstre radioactif japonais, réalisée par des Japonais (a priori pour un public nippon).

L'intérêt de l'intrigue est faire démarrer l'histoire juste avant la défaite japonaise face aux États-Unis, en août 1945. spoiler: Ainsi, ce sont les explosions atomiques déclenchées par les Américains qui contribuent à créer
le monstre... qui s'en prend aux Japonais.

Il faut noter la qualité des effets spéciaux, pour un film qui n'a coûté que 15-16 millions d'euros.

A l'ambiance de fin du monde qui règne au Japon des années 1945-1946 s'ajoute la formation d'une famille recomposée, sur fond de tragédies diverses. Rares sont les Japonais de l'époque à n'avoir pas perdu quelqu'un de proche.

Si on laisse de côté certaines dialogues et jeux d'acteurs un peu outrés, on passe un excellent moment, à la fois spectaculaire et porteur de sens, sur l'utilisation des armes et ce que l'on fait de sa vie.

Le meilleur film d'action que j'ai vu de ma vie.
La bande son est magistrale et les images sont fantastiques.

Rien a dire, la plus grosse claque.

Très bon film ! On traite Godzilla non plus comme un gros blockbuster débile mais comme un film de guerre à part entière, en donnant plus de poids au côté humain avec les personnages principaux qui cherchent à se reconstruire après la fin de la guerre. On revient aux fondamentaux du genre avec Godzilla incarnant la peur et le traumatisme des japonais vis à vis de l'arme atomique, l'émotion fonctionne bien, chaque apparition du monstre semble fatale. Un peu déçu par la fin qui termine un peu "trop bien" à mon goût, et par certaines scènes où je trouve l'émotion surjouée mais cela tiens plus du style japonais que de l'erreur

Le film-catastrophe – à plus forte raison le film de monstre(s) – est un genre casse-gueule pour la simple raison qu'il tombe trop facilement dans les poncifs narratifs hollywoodiens : héroïsme excessif, rendus visuels insatisfaisants, surenchère dans les affrontements…

Sans dire qu'ils les évitent totalement, cette énième adaptation de Godzilla surprend par la simplicité de sa mise en scène. Le rendu de la créature, façon Bibendum, change des visions bodybuildées des versions américaines ratées où Godzilla affronte une flopée de Kaijūs tous plus puissants les uns que les autres. spoiler: Même la stratégie mise au point pour le mettre hors d'état de nuire est assez originale. Ses fragilités radioactives aussi. C'est plus le personnage du pilote-kamikaze qui manque de profondeur, ainsi que la femme avec laquelle il noue une relation, qui se voit complètement écartée de l'histoire dès l'instant qu'elle ne sert plus le scénario. Pour finalement revenir à la fin pour la dose de sucre dont n'avait pas besoin le film.

Enfin il était temps que Godzilla trop longtemps (mal) accaparé par Hollywood revienne dans le carcan nippon. En effet la bête fait avant tout partie intégrante de la culture japonaise qui lui vaut un quasi culte.
Et il fait un bond en arrière en apparaissant tout juste après la fin de la seconde guerre mondiale où le Japon se relève tout groggy du conflit.
A la première apparition du gros lézard, je n'ai pas pu m'empêcher de penser ...au club Dorothée dans les années 90 qui recyclait à outrance les super sentaï japonais (power rangers notamment). Tiens ce Godzilla là semble s'être échappé de cet univers.
Pas terrible comme référence...Impression renforcée par le jeu des protagonistes plus proche des séries sirupeuses d'AB productions (Hélène et les garçons...) que de long métrage sérieux...
Pourtant ce Godzilla; attention il est là pour tout dézinguer et il ne fait pas dans la demi mesure. C'est Godzilla flingueur ! Il dynamite, il disperse, il ventile. et il t'éparpille le quartier de Ginza par petit bouts façon puzzle!! Toutes ces scènes de chaos mérite que l'on intéresse au film en même temps que l'énorme capacité de résilience de tout un peuple montré en filigrane et qui suscite et amène de l'émotion qui vient contrebalancer la fureur brute de la Bête.
En tout cas cela a le mérite d'apporter un peu de réflexion contrairement aux adaptations hollywoodiennes qui en sont totalement dénuées...

Petite déception par rapport aux attentes. Les effets spéciaux sont d’un bon niveau même si on peut passer rapidement d’un Godzilla agile au classique monstre rigide des années 50.
On nous intéresse à la vie de la population nippone après la capitulation de la seconde vie mondiale mais le reste du scénario ne brille pas par son originalité et n’évite pas les facilités et les ellipses.
Ma grande réserve concerne surtout l’interprétation masculine à la limite de la caricature.