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    L'Enlèvement
    Note moyenne
    4,1
    35 titres de presse
    • Bande à part
    • Culturopoing.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Elle
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Le Point
    • Les Echos
    • Marianne
    • Transfuge
    • Cahiers du Cinéma
    • CinemaTeaser
    • Ecran Large
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Croix
    • Le Figaro
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Ouest France
    • Rolling Stone
    • Sud Ouest
    • Télé Loisirs
    • Télérama
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Critikat.com
    • Franceinfo Culture
    • La Septième Obsession
    • Le Monde
    • Paris Match
    • Première
    • Libération

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    35 critiques presse

    Bande à part

    par Benoit Basirico

    Le génie de Bellocchio réside dans sa capacité à associer l'essence tragique d'une famille déchirée à une touche baroque et grotesque, offrant ainsi au spectateur un plaisir continuellement renouvelé.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Culturopoing.com

    par Vincent Nicolet

    Opéra tragique et dense où une multitude de récits à intérêt similaires s’enchevêtrent, L’Enlèvement bascule harmonieusement d’un genre à l’autre : drame, fresque historique, thriller judiciaire. Marco Bellocchio revisite d’un même geste, un fait divers encore trop peu connu, vingt années cruciales dans l’évolution structurelle de la démocratie italienne et sa propre filmographie.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Marco Bellocchio, l’un des plus grands cinéastes italiens vivants, signe un chef-d’œuvre pamphlétaire contre l’obscurantisme, dans une mise en scène magistrale, au classicisme sublime.

    Elle

    par Marguerite Baux

    Un film beau comme un opéra, à la fois mélancolique et plein d'ironie envers les puissants.

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Faussement classique, cette fresque intimiste se révèle parsemée de séquences opératiques et bouleversantes, filmées dans un clair-obscur qui leur donne parfois une tonalité baroque. La force dramatique du récit nous a conquis.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Si les images de son chef opérateur, Francesco Di Giacomo, sont magnifiques, Marco Bellocchio ne se met pas à distance par sa reconstitution historique, d’une grande beauté et maîtrise formelle.

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Marco Bellocchio signe un nouveau monument de cinéma avec cette tragédie inspirée d’une histoire vraie stupéfiante et orchestrée comme un opéra flamboyant qui sidère par sa mise en scène d’une ampleur et d’une intensité rarement égalées, son récit passionnant et édifiant, sa reconstitution splendide.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Parisien

    par La Rédaction

    Véritable épopée, ce long-métrage qui s’étend sur plusieurs décennies montre comment la religion peut fracturer des êtres, briser des familles et déclencher des guerres.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Le Point

    par Victoria Gairin

    Maniant l'art du clair-obscur comme personne, Marco Bellocchio, qui accompagne son mélodrame baroque d'une musique tonitruante, offre une superbe fresque – la photo est magnifique –, véritable plaidoyer contre toute forme de fanatisme.

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Echos

    par Olivier De Bruyn

    L'infatigable cinéaste italien autopsie une nouvelle fois l'histoire de son pays dans ce film qui met en scène la déraison religieuse au XIX e siècle. Une réussite majeure.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Marianne

    par Olivier De Bruyn

    Avec sa mise en scène fiévreuse, le réalisateur italien Marco Bellocchio cloue au pilori le travail de sape exercé par la religion sur les consciences et vilipende une église d’autant plus radicalisée qu’elle sait son influence menacée par le vent de liberté qui souffle sur l’Europe en ce XIXe siècle.

    La critique complète est disponible sur le site Marianne

    Transfuge

    par Jean-Noël Orengo

    C’est un plaisir du plan comme il y a un plaisir du texte, Bellocchio aime l’acte cinématographique et nous le transmet, un processus d’une générosité, d’une simplicité savante à l’extrême, et qui suppose de ne jamais vieillir, de ne jamais croire que l’on sait, car on ne sait rien sinon qu’on va mourir comme tous ces êtres ressuscités par un cinéaste.

    Cahiers du Cinéma

    par Charlotte Garson

    La quasi-provocation de L’Enlèvement consiste à filmer une non-rébellion, et de superposer cet itinéraire à celui, allégorique, de la naissance du christianisme chez les Juifs – une histoire des religions miniature et difforme, certes, parce que condensée au sein d’un seul petit corps, qui devrait logiquement imploser.

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    L'un des films les plus hargneux présentés à Cannes en mai dernier.

    Ecran Large

    par Alexandre Janowiak

    "L'enlèvement" est une fresque historique d'une beauté absolue, au drame familial déchirant et aux idées fabuleuses pour dépoussiérer le classicisme du genre.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Humanité

    par Samuel Gleyze-Esteban

    Il y a un souffle épique dans L’Enlèvement, de ceux qui peuvent faire tomber des murs.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par Sophie Grassin

    Que ce très grand film bouclé par une séquence incroyable où Edgardo n’abdique rien, ait été ignoré par le jury du dernier Festival de Cannes, surprend. Trop classique ? Trop formel ? Ça ne tient pas un instant.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Céline Rouden

    De toute cette imagerie, renforcée par l’omniprésence des symboles religieux, le film tire son caractère oppressant et en fait une réussite du genre.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    Efficace et raffiné.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Les Fiches du Cinéma

    par Florent Boutet

    Marco Bellocchio prouve une fois de plus tout son talent en évoquant une douloureuse période de transition dans la construction de l’Italie contemporaine.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Comme devant “Esterno notte”, on est frappé·es par la précision de la reconstitution, par la somme de détails réels qui permettent ensuite à Bellocchio de tisser un récit, de laisser à l’occasion courir son imagination. Par sa liberté. Car s’il filme depuis longtemps l’enfermement, Bellocchio a toujours œuvré pour la liberté. Un très beau film.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Ouest France

    par M.O.

    Une fresque à la lumière crépusculaire.

    Rolling Stone

    par Sophie Rosemont

    Traversé de pulsions mystiques, porté par une tension politique dont Bellocchio a le secret, cet Enlèvement magistralement mis en scène est bien plus qu’un drame historique. Et, si on admire la splendeur de ses apparats grâce à une photographie cultivant l’onirique, L’Église italienne, à l’époque antisémite et sournoise, en prend pour son grade. Puro Bellocchio !

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    Sud Ouest

    par Julien Rousset

    Marco Bellocchio surprend sans cesse, c’est le ressort de son cinéma vivifiant et inclassable, slalome entre gravité et humour, réalisme et accents baroques. Une charge non pas contre les religions mais contre ce qu’elles recèlent de plus nocif, l’enfermement dogmatique et l’obsession du pouvoir.

    Télé Loisirs

    par Margot Loisel

    Le réalisateur italien Marco Bellocchio relate cette histoire vraie avec une force politique inouïe et un sens esthétique baroque et fantastique.

    Télérama

    par Marie Sauvion

    Entremêlant à nouveau l’intime et le politique, le cinéaste bâtit de captivantes scènes en miroir : la mère cachant son fils sous ses jupes pour le soustraire à ses kidnappeurs ; le pape le dissimulant sous son habit rouge pour le favoriser dans une partie de cache-cache.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    Un élan baroque qui emporte tout.

    aVoir-aLire.com

    par Gérard Crespo

    Marco Bellocchio signe l’un de ses meilleurs films avec ce drame historique mêlant subtilement lyrisme et critique sociale.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Critikat.com

    par Josué Morel

    Un film inégal, à la forme aussi opératique qu'un peu compassée, qui livre toutefois quelques belles scènes de mélodrame.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    "L'Enlèvement" vaut donc principalement pour son sujet, la mise en scène de ce grand réalisateur restant un peu en deçà des attentes.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    La Septième Obsession

    par Jérôme d'Estais

    On connait dans "L’Enlèvement" la flamboyante et l’amplitude de la mise en scène du maestro, sa forme opéra tique alliant une image tout en clairs-obscurs et lumières aveuglantes à une musique ponctuant de manière retentissante la narration linéaire du film, soudain prise d’accélérations frénétiques et d’accentuations flirtant avec l’excès.

    Le Monde

    par Ma. Mt.

    De cette histoire au long cours, Marco Bellocchio retient moins le potentiel de fresque que le piège mental se refermant sur le jeune Edgardo, que l’on retrouvera adulte dans le dernier tiers du film, sujet à de violents accès schizophrènes, comme effets organiques du rapt originellement subi.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Paris Match

    par Yannick Vely

    C'est survolté, énervé et édifiant. On regrette juste que le film se termine sur un point d'interrogation tant le voyage spirituel d'Edgardo aurait mérité un vrai développement.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Thomas Baurez

    Tout est en place, magnifiquement composé et pourtant sourd cette sensation que l’essentiel manque. Sa mise en scène n’atteint la transcendance que par à coup. On aurait aimé voir Bellocchio tel le Comencini de L’incompris, signer un grand film sur la brutalité du monde adulte vue à travers les yeux d’un enfant effaré et tourmentée.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Libération

    par Didier Péron

    Le film ne rend pas vraiment compte des raisons qui poussent l’Eglise à s’entêter dans ce projet cruel de séquestration d’enfant et de conversion et insiste trop lourdement sur la figure grotesque, écumante, d’un pape de plus en plus cinglé et isolé dans les splendeurs vaticanes. (...) La sortie du film dans le vacarme de l’antisémitisme résurgent rend sa vision aussi instructive que douloureuse.

    La critique complète est disponible sur le site Libération
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