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25 titres de presse
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Le Dauphiné Libéré
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20 Minutes
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Femme Actuelle
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GQ
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Le Figaro
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Le Journal du Dimanche
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Le Parisien
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Les Inrockuptibles
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Libération
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Public
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Sud Ouest
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Télé 7 Jours
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Télé Loisirs
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Télérama
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Cahiers du Cinéma
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La Croix
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Ouest France
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Première
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L'Obs
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La Tribune
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Le Monde
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
C'est bientôt les JO et le cinéma français glane déjà une comédie en or avec un duo de choc.
Le Dauphiné Libéré
Jérémie Sein dégaine un humour de compétition.
20 Minutes
A quelques semaines des Jeux, L’Esprit Coubertin de Jérémie Sein les fait vivre de l’intérieur de façon aussi drôle qu’originale.
Femme Actuelle
Une vraie efficacité comique traverse cette histoire farfelue dans laquelle Benjamin Voisin révèle une nouvelle facette de son talent.
GQ
Moins une comédie de sport qu'un questionnement désopilant sur les valeurs contemporaines du sport, L'Esprit Coubertin séduit par son désir de ne se tenir à aucun cadre du genre, explorant aussi bien la question, souvent éludée, du désir des athlètes que la résonance politique de leurs exploits.
Le Figaro
La loufoquerie fait le prix de cette comédie revigorante qui n'est pas sans rappeler par moments Les Fous du stade avec les regrettés Charlots (...), en plus réaliste. Elle ne craint pas une légère anticipation, vaut par l'observation juste, un certain culot, des gags récurrents.
Le Journal du Dimanche
Une comédie singulière, gentiment incisive, mais pas sans tendresse envers ses personnages, qui se pare d’une mise en scène travaillée et offre à Benjamin Voisin, formidable et bien entouré, un rôle en or.
Le Parisien
L’Esprit Coubertin est une chronique grinçante de la vie d’un village olympique, avec sa hiérarchie entre les disciplines, ses rituels festifs, ses bénévoles incompétents et sa ministre "des Sports, de l’égalité des genres et des collectivités territoriales", totalement ignare. On s’amuse beaucoup de ces personnages un peu cinglés et, face à un Benjamin Voisin méconnaissable, Emmanuelle Bercot, très inspirée, semble s’éclater dans le registre comique.
Les Inrockuptibles
L’Esprit Coubertin s’affirme comme une comédie sensible sur la perte collective de sens et la gesticulation des humains à l’intérieur de récits creux auxquels ils et elles font semblant de croire.
Libération
Oscillant entre burlesque et dialogues cinglants, l’Esprit Coubertin s’amuse ainsi de la rigidité à la fois physique et psychique de cette figure de sportif ridicule, patriote buté peinant à dissimuler un certain racisme dont le film se moque allégrement.
Public
À moins de deux mois des JO, cette comédie prend le contre-pied des célébrations avec brio et tendresse.
Sud Ouest
Un récit sur la quête de soi, assurément, entrecoupé de petits coups de pied bien placés à l’olympisme bien pensant et ses grands principes, aux médias, aux institutions. Mention spéciale enfin à Benjamin Voisin, extra dans le rôle d’un Paul à la fois agaçant et attachant.
Télé 7 Jours
Cette farce grinçante, signée par le réalisateur de l'excellente série Parlement, passe, avec une férocité jubilatoire, l'esprit olympique à la moulinette de son humour abrasif.
Télé Loisirs
Avec un amusant esprit pince-sans-rire, le film détaille tous les travers d'un certain olympisme.
Télérama
Très stylisée, un peu intemporelle, avec ses couleurs primaires et ses décors en plastique, cette fable anxieuse sur un monde qui ne respecte que les meilleurs semble trouver son inspiration farceuse du côté de Ricky Bobby : roi du circuit, la comédie d’Adam McKay, mais aussi dans les boîtes de Playmobil ! Le casting, particulièrement cohérent, semble également animé par l’esprit d’équipe
Cahiers du Cinéma
Des membres du Comité olympique (Grégoire Ludig, du Palmashow) aux animateurs TV (le duo comique DAVA), en passant évidemment par les athlètes, le film s’adonne à fond à une lose guignolesque : entre la parodie récurrente du journalisme sportif, l’amateurisme général et les compétiteurs qui, pour l’essentiel, mangent, draguent et font du karaoké, la solennité des JO déclare forfait.
La Croix
Sur le mode de l’absurde, le réalisateur Jérémie Sein tourne les JO de Paris 2024 en dérision pour, peut-être, mieux revenir à leur essence, avec un Benjamin Voisin excellent, en champion de tir psychorigide.
La Voix du Nord
On n’avait jamais vu les coulisses des Jeux de cette manière. Même si le film a bien conscience de ses limites (c’est bouclé en moins d’1 h 20), on perçoit quelques messages bien sentis sur la part de vanité et d’hypocrisie des JO.
Le Point
Judicieusement programmée à quelques semaines des JO de Paris, cette comédie alerte, signée du réalisateur de la série satirique Parlement, brocarde avec bonheur les coulisses du sport de haute compétition.
Ouest France
Benjamin Voisin vaut le détour en champion de tir neuneu, dernier espoir de médaille pour la France aux Jeux olympiques de Paris. Il est l’atout principal de ce premier film de Jérémie Sein qui tire des rires, mais manque un peu de souffle.
Première
Comédie non-sensique sur les JO, mélange de slapstick, de satire mauvais esprit et portrait hilarant d’un inadapté social, le premier film de Jérémie Sein est un OVNI dans lequel Benjamin Voisin impose ce qu’on appelle une véritable vis comica : il a trouvé son clown.
L'Obs
À l’exception de quelques piques amusantes sur les ridicules médiatico-sportifs (...) et malgré les efforts de Benjamin Voisin pour fabriquer un vrai personnage de BD, c’est sans rythme et paresseux. L’important, c’est peut-être de participer, mais mieux vaut être préparé.
La Tribune
À dix jours de la compétition, tous les espoirs de titre reposent sur Paul, contraint de partager sa chambre avec un nageur bien plus fort en sport en chambre qu'en bassin... Ici, pas de variation sur l'esprit sportif, mais une farce franchement adolescente.
Le Monde
Dans ce contexte où tout le monde, soumis à la caricature de sa fonction, paraît ridicule (...), Benjamin Voisin (méconnaissable) et Emmanuelle Bercot parviennent à nous épater. Les seuls à pouvoir prétendre au podium.
aVoir-aLire.com
Un film moins ironique ou drôle que franchement niais.