Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Toute la subtilité de Joanna Hogg tient à sa manière de faire naître l’inquiétante étrangeté par des dialogues anodins dont un léger décalage entre le mot et la réalité matérielle suffit à éveiller l’angoisse. Ce n’est finalement pas tant le brouillard nocturne du dehors, ou l’aspect lugubre des couloirs de l’hôtel qui suscite le fantastique, mais plutôt cette impression d’incompréhension totale qui grandit entre les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Positif
par Jean-François Baillon
L’admirable film de Joanna Hogg renoue élégamment avec cette veine du cinéma fantastique britannique [...] celui du gothique feutré plutôt que flamboyant.
Voici
par La Rédaction
A la fois film de fantômes et drame à l'ambiance hypnotique, Eternal Daughter brille par sa touchante retenue.
20 Minutes
par Caroline Vié
La mise en scène subtile de Joanna Hogg met en valeur la double performance de Tilda Swinton.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Murielle Joudet
Eternal Daughter, ce serait la dépersonnalisation de Norman Bates sans l’horreur. Un Psychose qui aurait été dépouillé de tout son attirail d’épouvante et de ses coups de force narratifs. Car chez Joanna Hogg, on attendra vainement une sorte de décharge cathartique qui viendrait chasser les fantômes et alléger les consciences.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Aussi beau qu'étrange, une expérience inoubliable de cinéma.
Critikat.com
par Thomas Grignon
La mise en scène du film trouve sa cohérence dans cette façon de plier le décor à la faveur d’une rencontre qui fend l’espace-temps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Une envoûtante histoire de fantômes qui fait l'effet d'un délire gothique de jeunesse digéré par la maturité. Avec un talent fou, Joanna Hogg parle d'elle-même au travers de la brillante Tilda Swinton et de ces images aussi belles qu'inquiétantes. Celles-ci parleront avec délicatesse à toutes les personnes ayant déjà été hantées par la perte d'un être cher.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un captivant film de fantôme.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un beau film de hantise, tout en intériorité, atmosphérique et gothique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Cl. F.
Le récit s’épaissit au fur et à mesure que le jeu de Tilda Swinton, conjugué au montage, suggère d’autres espaces-temps et laisse entrer des fantômes. Se balançant telle une acrobate, de Julie à Rosalind, du film en train de se faire au futur long-métrage rêvé, l’actrice britannique construit une sidérante énigme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Hypnotique et troublant.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film, tout en délicatesse, en humour léger, en nostalgie, à l’aide de plans fixes sévèrement et savamment agencés, est parfaitement maîtrisé, et un régal bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « Eternal Daughter », Joanna Hogg dépeint les relations troubles entre une fille et sa mère dans un hôtel inquiétant du Pays de Galles. Un regard stimulant sur la déraison.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Transfuge
par Séverine Danflous
Magistral !
Télérama
par Jacques Morice
Un conte aussi raffiné qu’inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En réalisant son septième long-métrage, Joanna Hogg fait déjà la démonstration qu’elle occupe une première place dans le cinéma mondial d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film d'atmosphère, au récit flottant et incertain, rehaussé par la performance de son actrice principale, qui se dédouble dans un face-à-face troublant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On reste vaguement dans la lignée du Tour d’écrou, de Henry James, en bien moins perturbant, ou des films de fantômes situés dans des hôtels, comme Hotel by the River, de Hong Sang-soo, et surtout Shining, de Stanley Kubrick, avec lequel le film de Hogg a deux points communs (...). Bref, pas de quoi se cramponner à son fauteuil.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Avec ce film aux allures de conte gothique et son actrice fétiche Tilda Swinton, Joanna Hogg signe un étrange et splendide récit sur le deuil.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un film d'atmosphère rehaussé par la performance de son actrice principale.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Grâce à la toujours formidable Tilda Swinton, qui incarne avec une grande intensité les deux femmes, la réalisatrice anglaise orchestre, par sa mise en scène habile, un face-à-face émouvant convoquant l’amour filial et la difficulté du deuil.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
D’une saisissante maîtrise formelle, cet exercice stylistique et introspectif fascine autant qu’il tient à distance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
C’est au fond ce que vise Hogg, se déprendre d’elle-même tout en rêvant sa vie. Tout confier à l’art, et à sa comédienne transformiste, qui est aussi son amie d’enfance. Programme hautement littéraire, intéressant et légèrement scolaire : faire de l’impersonnel un style à soi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Plutôt touchant, le récit a toutefois le malheur de s'appuyer sur la double performance de Tilda Swinton [...] il faudra parvenir à contourner l'artifice du procédé [...] pour réussir à s'immerger dans l'émotion véhiculée par le script.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Fidèle à ses habitudes, la cinéaste britannique soigne la photographie (ultra-gothique) et recrute Tilda Swinton, décidément capable de tout. Elle est épatante dans ce double rôle ô combien particulièrement délicat… Mais Hogg instaure également une tension narrative aussi inhabituelle qu’appréciable dans sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’ambition qui consiste à passer les codes du genre au tamis de l’autofiction est belle, mais l’exercice, trop scolaire, juste digne d’un court-métrage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Mais cette fois- ci, le scénario et ses effets de surprise trop vite éventées convainquent moins, donnant à l’ensemble un côté plus fabriqué, à l’image de l’idée de confier les deux rôles à Tilda Swinton, certes impeccable mais dans un numéro parfois trop artificiel. Dans la même famille de film et d’ambiance, le récent She will a su se montrer plus saillant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par E. S.
Les portes grincent, les fenêtres claquent et Swinton cabotine en se donnant la réplique à elle-même par l'entremise de champs et de contrechamp. Le mystère de ce double jeu se dissipe assez vite. Reste un objet conceptuel assez creux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Brumeux, c’est le film tout entier qui l’est, avec son « twist » final archi prévisible dès la troisième minute, sa musique pénible et répétitive jouée uniquement à la flûte, ses scènes extérieures de brouillard mal filmées, et surtout son scénario et sa mise en scène soporifiques…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Culturopoing.com
Toute la subtilité de Joanna Hogg tient à sa manière de faire naître l’inquiétante étrangeté par des dialogues anodins dont un léger décalage entre le mot et la réalité matérielle suffit à éveiller l’angoisse. Ce n’est finalement pas tant le brouillard nocturne du dehors, ou l’aspect lugubre des couloirs de l’hôtel qui suscite le fantastique, mais plutôt cette impression d’incompréhension totale qui grandit entre les personnages.
Positif
L’admirable film de Joanna Hogg renoue élégamment avec cette veine du cinéma fantastique britannique [...] celui du gothique feutré plutôt que flamboyant.
Voici
A la fois film de fantômes et drame à l'ambiance hypnotique, Eternal Daughter brille par sa touchante retenue.
20 Minutes
La mise en scène subtile de Joanna Hogg met en valeur la double performance de Tilda Swinton.
Cahiers du Cinéma
Eternal Daughter, ce serait la dépersonnalisation de Norman Bates sans l’horreur. Un Psychose qui aurait été dépouillé de tout son attirail d’épouvante et de ses coups de force narratifs. Car chez Joanna Hogg, on attendra vainement une sorte de décharge cathartique qui viendrait chasser les fantômes et alléger les consciences.
CinemaTeaser
Aussi beau qu'étrange, une expérience inoubliable de cinéma.
Critikat.com
La mise en scène du film trouve sa cohérence dans cette façon de plier le décor à la faveur d’une rencontre qui fend l’espace-temps.
Ecran Large
Une envoûtante histoire de fantômes qui fait l'effet d'un délire gothique de jeunesse digéré par la maturité. Avec un talent fou, Joanna Hogg parle d'elle-même au travers de la brillante Tilda Swinton et de ces images aussi belles qu'inquiétantes. Celles-ci parleront avec délicatesse à toutes les personnes ayant déjà été hantées par la perte d'un être cher.
Elle
Un captivant film de fantôme.
Franceinfo Culture
Un beau film de hantise, tout en intériorité, atmosphérique et gothique.
Le Monde
Le récit s’épaissit au fur et à mesure que le jeu de Tilda Swinton, conjugué au montage, suggère d’autres espaces-temps et laisse entrer des fantômes. Se balançant telle une acrobate, de Julie à Rosalind, du film en train de se faire au futur long-métrage rêvé, l’actrice britannique construit une sidérante énigme.
Le Point
Hypnotique et troublant.
Les Inrockuptibles
Le film, tout en délicatesse, en humour léger, en nostalgie, à l’aide de plans fixes sévèrement et savamment agencés, est parfaitement maîtrisé, et un régal bouleversant.
Marianne
Dans « Eternal Daughter », Joanna Hogg dépeint les relations troubles entre une fille et sa mère dans un hôtel inquiétant du Pays de Galles. Un regard stimulant sur la déraison.
Transfuge
Magistral !
Télérama
Un conte aussi raffiné qu’inquiétant.
aVoir-aLire.com
En réalisant son septième long-métrage, Joanna Hogg fait déjà la démonstration qu’elle occupe une première place dans le cinéma mondial d’aujourd’hui.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film d'atmosphère, au récit flottant et incertain, rehaussé par la performance de son actrice principale, qui se dédouble dans un face-à-face troublant.
L'Humanité
On reste vaguement dans la lignée du Tour d’écrou, de Henry James, en bien moins perturbant, ou des films de fantômes situés dans des hôtels, comme Hotel by the River, de Hong Sang-soo, et surtout Shining, de Stanley Kubrick, avec lequel le film de Hogg a deux points communs (...). Bref, pas de quoi se cramponner à son fauteuil.
La Croix
Avec ce film aux allures de conte gothique et son actrice fétiche Tilda Swinton, Joanna Hogg signe un étrange et splendide récit sur le deuil.
Le Dauphiné Libéré
Un film d'atmosphère rehaussé par la performance de son actrice principale.
Le Journal du Dimanche
Grâce à la toujours formidable Tilda Swinton, qui incarne avec une grande intensité les deux femmes, la réalisatrice anglaise orchestre, par sa mise en scène habile, un face-à-face émouvant convoquant l’amour filial et la difficulté du deuil.
Les Fiches du Cinéma
D’une saisissante maîtrise formelle, cet exercice stylistique et introspectif fascine autant qu’il tient à distance.
Libération
C’est au fond ce que vise Hogg, se déprendre d’elle-même tout en rêvant sa vie. Tout confier à l’art, et à sa comédienne transformiste, qui est aussi son amie d’enfance. Programme hautement littéraire, intéressant et légèrement scolaire : faire de l’impersonnel un style à soi.
Mad Movies
Plutôt touchant, le récit a toutefois le malheur de s'appuyer sur la double performance de Tilda Swinton [...] il faudra parvenir à contourner l'artifice du procédé [...] pour réussir à s'immerger dans l'émotion véhiculée par le script.
Rolling Stone
Fidèle à ses habitudes, la cinéaste britannique soigne la photographie (ultra-gothique) et recrute Tilda Swinton, décidément capable de tout. Elle est épatante dans ce double rôle ô combien particulièrement délicat… Mais Hogg instaure également une tension narrative aussi inhabituelle qu’appréciable dans sa filmographie.
L'Obs
L’ambition qui consiste à passer les codes du genre au tamis de l’autofiction est belle, mais l’exercice, trop scolaire, juste digne d’un court-métrage.
Première
Mais cette fois- ci, le scénario et ses effets de surprise trop vite éventées convainquent moins, donnant à l’ensemble un côté plus fabriqué, à l’image de l’idée de confier les deux rôles à Tilda Swinton, certes impeccable mais dans un numéro parfois trop artificiel. Dans la même famille de film et d’ambiance, le récent She will a su se montrer plus saillant.
Le Figaro
Les portes grincent, les fenêtres claquent et Swinton cabotine en se donnant la réplique à elle-même par l'entremise de champs et de contrechamp. Le mystère de ce double jeu se dissipe assez vite. Reste un objet conceptuel assez creux.
Le Parisien
Brumeux, c’est le film tout entier qui l’est, avec son « twist » final archi prévisible dès la troisième minute, sa musique pénible et répétitive jouée uniquement à la flûte, ses scènes extérieures de brouillard mal filmées, et surtout son scénario et sa mise en scène soporifiques…