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    Bolero
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    244 critiques spectateurs

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    Caro Cinéma
    Caro Cinéma

    14 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2024
    Un très beau film, magnifique et envoûtant.
    On y découvre un compositeur exigeant et minutieux.
    Il se nourrit peu à peu des sons qui l'entourent...
    On rentre dans le long processus créatif
    et on en ressent les vibrations, le frisson...
    L'image est délicate, calme et intense,
    le tout servi avec une romance forte et impénétrable.
    Math719
    Math719

    151 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2024
    Quel succès que cette composition et quel hymne ce boléro !
    Un plaisir de découvrir comment cette composition a été connue et dans quelle condition !
    Raphaël Personnaz est extra et toutes les comédiennes qui jouent sont resplendissantes aussi.
    Toute fois il y a quelques longueurs, sans être un chef d’œuvre il est intéressant.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    336 abonnés 520 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2024
    Ce nouveau film d’Anne FONTAINE inspiré de la vie de Maurice RAVEL nous décrit bien le processus de création de ce fameux « BOLERO universellement connu. La réalisatrice a bien traduit la naissance de ce chef d’œuvre et a aussi bien décrit l’ambiance années folles de cette époque. Raphael PERSONNAZ incarne très bien ce célèbre compositeur et Jeanne BALIBAR fait éclater sa classe de grande actrice dans le rôle d’Ida RUBINSTEIN. Ce film est intéressant à découvrir et pas seulement par les mélomanes.

    Bernard CORIC
    ouadou
    ouadou

    73 abonnés 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2024
    Magnifique film avec un Raphaël Personnaz aussi subtile qu'investi par le rôle. Ce n'est pas un biopic scolaire, mais une très belle fresque autour de la création. Emmanuelle Devos et Jeanne Balibar sont parfaites. Petite réserve sur Doria Tillier un peu fade. Film aussi émouvant qu'explosif par moment.
    Jipéhel
    Jipéhel

    20 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Les tourments de la création

    Anne Fontaine change de genre de films comme de chemise. Mais quoi qu’elle fasse, j’aime son cinéma. De Nettoyage à sec en 1997… ça fait un bail, Présidents en 2021, elle nous a régalés avec Comment j’ai tué mon père, Entre ses mains, Perfect Mothers, Les innocentes, Marvin ou la belle éducation, Police, Blanche comme neige, que du bon, voire du très bon. Alors ces 120 minutes étaient attendu avec autant d’impatience que de curiosité. En 1928, alors que Paris vit au rythme des années folles, la danseuse Ida Rubinstein commande à Maurice Ravel la musique de son prochain ballet. Tétanisé et en panne d’inspiration, le compositeur feuillette les pages de sa vie - les échecs de ses débuts, la fracture de la Grande Guerre, l’amour impossible qu’il éprouve pour sa muse Misia Sert… Ravel va alors plonger au plus profond de lui-même pour créer son œuvre universelle, le Bolero. Deux heures pour nous camper un Ravel fidèle à la légende de son personnage mais très éloignées de la véritable histoire de l’œuvre la plus célèbre du monde – il ne se passe pas un ¼ d’heure sans que le Boléro ne soit joué quelques par sur notre planète -, qui s’avère hélas bien plus prosaïque que ce beau drame romantique. Un faux biopic, une vraie réussite.
    Le bémol – c’est le moment où jamais – que j’ai signalé plus haut n’est réservé qu’aux spécialistes de l’histoire de la musique et encore plus, de celle de Ravel. Mais oublions pour se concentrer sur le cinéma. Et là, il y en a partout et à chaque instant. Le film est très réussi, la reconstitution très fidèle et la romance tout empreinte de mélancolie joliment écrite, mise en scène et interprétée. 1ère belle idée le générique du début où l’on voit s’entremêler les nombreuses adaptations de la partition immortelle à travers le monde. Oui, le Boléro est une œuvre universelle et son compositeur une énigme. Introvertie, insaisissable, distante et tourmentée Tous ces aspects sont parfaitement rendus. Le tournage a pu s’effectuer dans la vraie maison de Ravel, à Montfort-l’Amaury et la photographie de Christophe Beaucarne fait merveille. Après, ce n’est que plaisir de la scénariste de lui faire croiser – et nouer des liens fantasmés – avec des figures de l’époque comme Misia Sert ou Ida Rubinstein. Un très beau film porté par un casting ***.
    Raphaël Personnaz inonde l’écran de son talent et de sa présence en incarnant pourtant un homme plus qu’introverti. Une performance, le film lui beaucoup. Il est très entourée par une ronde de femmes, Doria Tillier, Jeanne Balibar, - somptueuse -, Emmanuelle Devos, Sophie Guillemin, Anne Alvaro, Marie Denarnaud. On ajoutera la présence de Vincent Perez et du pianiste virtuose Alexandre Tharaud qui a supervisé toute la partie purement musicale du film tout en acceptant d’y tenir le rôle d’un pur salaud. Mozart, Berlioz, Beethoven, Mahler, Schubert avaient eu droit à leur biopic. L’immense Ravel valait bien ce beau moment de cinéma… et puis, quelle musique !
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    690 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2024
    Le Boléro de Ravel est une oeuvre charnelle, lancinante, obsédante, érotique, voire orgasmique sur le final...
    Et pourtant, nous sommes si loin du personnage de Maurice Ravel, rigoureusement hermétique à tous sentiments extériorisés !
    Cet homme entendait la musique, ressentait la musique, vivait la musique à chaque instant, dans la nature, dans la rue ou dans une usine.
    Lorsqu'une danseuse russe célèbre (Ida Rubinstein) lui commande un ballet pour son prochain spectacle, le voilà tétanisé, sans inspiration, totalement bloqué.
    C'est pourtant là qu'il va réussir la création de sa vie (sans en être si fier, c'est un comble !) : le Boléro.
    J'ai aimé ce biopic pour son côté instructif concernant le parcours de cet artiste, ainsi que pour m'avoir fait découvrir la genèse de ce bijou musical.
    Je m'attendais, par contre, à plus d'émotions et de vibrations dans l'ensemble, surtout avec un casting associant le très classe Raphaël Personnaz et la charmante Doria Tillier.
    C'est au bout du compte un film manquant largement de fièvre, mais réhaussé par la puissance mélodieuse de ces 17 minutes de jouissance sonore !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    islander29
    islander29

    771 abonnés 2 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2024
    La musique adoucit les mœurs, c'est certain, en voyant ce film, on ressort avec la banane, puisque La musique de Ravel occupe les deux tiers de la durée du film et des scènes.. Mélomanes précipitez vous...Anne Fontaine réalise un film dont les punchlines, sont l'épine dorsale du film;. Un vrai nectar pour l'esprit sensible, l'esprit tout court....Bref entre la musique et les dialogues, on en a pour son argent...De plus Rafael Personnaz n'est entouré que de femmes bienveillantes, à son égard, la vie affective de Ravel est un naufrage, c'est le moins qu'on puisse dire, puisqu'il plaçait la musique comme son unique passion ...Bref comme le dit justement Doria Tillier, il aurait pu concilier les femmes et la musique,, iol n'y a pas incompatibilité, que je sache...Que de regrets pour ce génie passez à côté de l'amour.....Notons des seconds rôles féminins très fins, de grandes actrices ( sa mère Anne Alvaro, mourante j'ai revu ma mère ) mais aussi la muse Jeanne Balibar, quelle sorcière, Emmanuelle Devos, la conseillère artistique
    Sophie Guillemin, la femme de maison plus que de chambre, ET enfin un homme dirais je, Le viril Vincent Pérez, l'ami fidèle de Ravel...Toute ce beau monde crée un film qui a sa raison d'être , vive la culture, vive la musique....J'attends maintenant le même hommage à Debussy, l'autre génie de la musique française du vingtième siècle...à Voir sans trop hésiter
    Cinévore24
    Cinévore24

    302 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mars 2024
    Malgré l'interprétation juste de Raphaël Personnaz et une photographie assez soignée, un "biopic" relativement plat et conventionnel dans son ensemble, qui a bien du mal à nous passionner.
    L'histoire d'un compositeur perdu dans sa musique et de son morceau le plus célèbre, obsédant et intemporel.
    Hormis ses toutes dernières minutes, musicales et oniriques, un film trop figé pour nous emporter. 5,5/10.
    Omg151
    Omg151

    52 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mars 2024
    Malgré des beaux décors et des beaux costumes , le film est assez ennuyeux et didactique.
    Il manque de la passion à cette histoire autour de la création du Bolero. La mise en scène est très plate, aussi académique que dans un téléfilm de luxe, les actrices papillonnent et cabotinent autour de Ravel, joué par Personnaz tout en intériorité maladive. Hélas l'acteur falot manque vraiment de mystère et de profondeur pour qu'on s'attache au personnage.
    La durée de 2 heures semble vraiment excessive, vu ce qu'a à raconter la réalisatrice et la fin aurait pu arriver bien plus tôt.
    A croire que les français ne sont vraiment pas doués pour les biopics musicaux...
    Ciné-13
    Ciné-13

    93 abonnés 889 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2024
    On s'ennuie ferme!
    RAVEL avait beau être tourmenté et discret, il apparaît dans ce biopic à charge, glacial, sans inspiration, inintéressant,...
    Le Boléro, composé à 53 ans, est une composition diabolique, mais tellement non représentative de son oeuvre magistrale. (on ne l'entendra même pas en entier).
    Les dialogues avec ces dames enamourées sont insipides, d'une grande platitude et écourtés dès que cela pourrait peut-être donner naissance à une véritable émotion. DEVOS fait pitié avec ses multiples chapeaux vieillots. BALIBAR cabotine exagérément (cela relèverait presque de #METOO!).
    Quelle déception!
    Dorothée Martin
    Dorothée Martin

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2024
    Magnifique moment ! Ce film et cette musique ne font qu'un : mouvement lancinant, sensuel, tout en crescendo. Anne Fontaine parvient à faire vivre le processus de création, et faire entendre la musique de Ravel avec les yeux. Raphaël Personnaz est magnifique de génie torturé, et Jeanne Balibar est jouissive, oserais-je dire. Bref, un moment de grâce. A voir.
    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Terriblement académique et explicatif, comme un feuilleton ORTF des années 70. Certes, le film a d'indéniables qualités techniques comme sa photo soignée et son travail sonore. Mais cela ne suffit pas. Et entre le jeu inexpressif de Raphaël Personnaz et le cabotinage de Jeanne Balibar, le casting est peu convaincant. Reste le Boléro de Ravel, que vous pourrez écouter sur Deezer.
    mat niro
    mat niro

    306 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Austère et pompeux, voilà mes premières impressions à la sortie de ce biopic consacré à Ravel. Anne Fontaine essaie de retracer le parcours qui va emmener cet artiste tourmenté (que l'on appelle que par son nom) à la création de ce fameux Boléro. Raphaël Personnaz incarne avec une sobriété totale l'artiste et c'est justement ce manque d'émotion que l'on peut reprocher au film d'Anne Fontaine. Ce n'est qu'au contact de sa muse, en l'occurrence l'excellente Doria Tillier, qu'il semble s'apaiser. Seulement, ces bons mots échangés et cette pudeur maladive ne suffisent pas à transcender ce film bien trop sage à mon goût malgré des acteurs impeccables (je pense également à Jeanne Balibar). Décevant dans l'ensemble sauf peut-être pour les mélomanes fan de musique classique, et encore...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    588 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2024
    Bolero s’achève par là où il aurait dû commencer : l’orchestration du morceau de même nom dirigée par Ravel, en dépit de la brèche que celui-ci a ouverte au sein de l’artiste, du tiraillement interne qu’il a créé entre la réserve et l’amour, entre la maîtrise et la passion, entre musique profonde mais impopulaire et succès populaire renié. Autrement dit, la tension qui sépare Ravel du Bolero redescend comme par magie, donnant lieu à une séquence à l’esthétique flamboyante mais envahissante qui rappelle la guerre des Ken organisée par Barbie (Greta Gerwig, 2023). Dès lors, au lieu de remonter aux origines de cette anomalie dans l’œuvre du compositeur, Anne Fontaine préfère imaginer sa genèse en respectant la chronologie, entreprise périlleuse dans la mesure où la naissance d’un symbole (musical, religieux etc.) ne saurait être à la portée de nos sens et de notre intellect qui, eux, l’ont intégré.
    Voir Raphaël Personnaz pianoter jusqu’à trouver le thème aussitôt joué aussitôt rejoué aussitôt validé et acclamé par l’assistance déconcerte et produit une impression tenace d’artificialité qui s’étend à l’ensemble du long métrage. La réalisation ne sait pas comment filmer son comédien au piano : les mains captées en gros plan ne semblent pas siennes, tout comme le mouvement des avant-bras ne paraissent pas accompagner la mélodie entendue. Une telle suspicion de fraude s’étend aux décors extérieurs, ceux de l’industrie et de New York, trop beaux pour être vrais, trop poseurs pour rendre la fugacité exigée par le scénario, et à la reconstitution de l’effervescence culturelle dans laquelle a baigné Ravel, réduite aux accolades chaleureuses Vincent Pérez. Rien sur le surréalisme, rien sur le cubisme. Maurice Ravel a tout inventé !
    La photographie de Christophe Beaucarne frappe par son inspiration, quoique les comédiens, serrés dans des costumes et dans des chaussures cirées, enfermés dans des caractères immuables qui les étouffent, l’empêchent de prendre de l’ampleur. Bolero ressemble à ces esquisses en deux dimensions crayonnées au brouillon : de bonnes idées sans lien encore, une suite de pistes qu’aucun fil conducteur ne vient rassembler – n’oublions pas les flashbacks inutiles revenant sur son engagement au front... Dommage.
    coraly
    coraly

    9 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2024
    Boléro raconte la création de l’œuvre la plus célèbre de Maurice Ravel, dont il regretta le succès inattendu. S'il est intéressant de découvrir l'histoire de ce compositeur, célèbre bien avant cette composition, et les coulisses de la naissance difficile de ce ballet, le film s'étire et se perd dans de nombreuses scènes superflues et frisant l'ennui. La relation avec son intérêt amoureux, Missia, et leurs dialogues absurdes et sur-écrits, est symptomatique de ce ratage.
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