Avis : La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - Page 6

Du bon boulot ! Depuis la reprise avec la dernière trilogie exemplaire, on espérait une suite digne de ses prédécesseurs. Et c’est le cas avec un scénario intéressant se déroulant plusieurs centaines d’années plus tard.
Les effets spéciaux sont bluffants (on sent l’implication des avancées générées par Avatar 2) d’autant plus quand on apprend que pas un seul rapace n’est réel !!! (Itw Première avril 2024)
Le réalisateur prend son temps pour approfondir ses personnages et le montage est bien équilibré.
Seul regret : le personnage de Mae est un peu sous-exploité. La suite nous dira si cela était à dessein.

effets spéciaux fabuleux qui compensent un scénario sans surprise. Les gentils chimpanzés, les méchants gorilles, le sage Oran outang..

Magnifique terrible le seul truc qui manque c’est que j’aurai penssé que les singes serait beaucoup plus avancé technologiquement comme dans celui de 1968 mais vraiment c’est reussi c’est la véritable planete des singes méme si la saga de cesar et un chef d’oeuvre cette nouvelle trilogie peut nous surprendre!!!

Nul , ennuyant au plus au point . Scénario réchauffe, émotion et intrigue nul...
Partie 30 min avant la fin car je m ennuie mortellement, je n arrêtais de penses à cette perte de temps à regarder un film plus que vide...

Plusieurs générations se sont succédé après le règne de César et les singes ont définitivement pris le pouvoir. Les humains quant à eux, ont régressé au point de revenir à l’état sauvage…

Après deux trilogies (de 1968 à 1973 puis de 2011 à 2017), il semblerait bien que la célèbre franchise inspirée du roman éponyme de Pierre Boulle soit de retour pour une nouvelle salve d’aventures simiesques. Pour autant, on est en droit de se demander ce que peut bien nous apporter de nouveau ce nouvel opus, tant on a l’impression que tout a déjà été dit et redit à son sujet. D’ailleurs, tout au long du film, on a cette désagréable impression de redite, avec toujours ce même schéma narratif (un chimpanzé trouve conseil auprès d’un vieux sage (l’orang-outan), avant d’être la proie d’un terrible gorille et comme dans La Planète des singes - Suprématie (2017) où Nova était secourue par César, cette fois-ci, c’est Mae qui trouve de l’aide auprès de Noa).

Pour le reste, La Planète des singes - Le Nouveau Royaume (2024) donne l’impression de n’être que du réchauffé, le tout, contrebalancé par de remarquables CGI (quand Dame-Nature reprend ses droits sur la civilisation et ce bunker qui avait tant à nous raconter, mais qui finalement ne sera que peu évoqué). Quelques invraisemblables ici et là que l’on peine à comprendre spoiler: (comment se fait-il que le bunker s’illumine comme le Château de Versailles à la simple utilisation d’un interrupteur, alors qu’il est censé être en sommeil / à l’abandon depuis des décennies ou alors comment expliquer qu’il puisse y avoir d’un côté des humains revenus à l’âge de pierre et d’autres, vivant à l’ère 2.0 dans un abri-souterrain, comme s’il s’agissait de deux civilisations diamétralement opposées, vivants dans deux univers parallèles alors que ça n’est pas le cas).


A côté de ça, le film ne justifie en aucun cas ses 2h30, beaucoup trop de blabla et un ventre mou en milieu de parcours, avant de nous sortir de notre léthargie lors des 30 dernières minutes du film, mais c’est trop tard, le mal est fait, on se sera ennuyé pendant les ¾ du film. Ça n’augure rien de bon pour la suite…

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Presque un parfait !
La saga continue et c'est toujours aussi bien, je recommande grandement, c'est une sacrée réussite et ça passe extrêmement vite ! Le personnage principal (ou singe principal) est excellent et on s'attache vite.
4,5/5 pour ma part.

10ème film de la licence La Planète des Singes, Le Nouveau Royaume sort ce mercredi 8 mai dans les salles obscures. Pour l’occasion, Matt Reeves laisse se place à Wes Ball (Le Labyrinthe) à la réalisation. L’intrigue de ce nouvel opus prend place plusieurs générations après la conclusion de La Planète des Singes : Suprématie, sorti en 2017.

https://www.justfocus.fr/cinema/la-planete-des-singes-le-nouveau-royaume-un-retour-en-force.html

César n'est plus et l'on découvre 300 ans plus tard l'héritage qu'il a laissé dans ce blockbuster du printemps, changeant un peu de cap après la trilogie marquante. Il est ici plutôt question d'un récit d'aventures avec le personnage de Noa, confronté à l'espèce humaine, et qui va prendre un chemin semé d'embûches malgré le règne des singes. Le résultat est plutôt positif malgré des longueurs évitables (le film dure quand même 2h25), et l'on ne peut qu'admirer les superbes paysages agrémentés d'effets spéciaux bluffants. Un nouvel opus de la saga qui ravira sans doute les fans avec des messages presque "philosophiques" au centre de ce divertissement.

Ce nouvel opus de la Planète des Singes nous emmène vers une nouvelle série de films, c'est sûr (la fin de cet opus est quasiment le démarrage d'un suivant). Il nous ramène aussi et surtout sur un banc d'école : on a en effet besoin d'être déstabilisé dans nos croyances et nos ambitions (c'est le cas de ce jeune singe qui a sa religion, ses craintes, ses rituels). Ainsi, ce film n'est pas une grande surprise sous cet angle : on connaît l’histoire de base qui vient des années 60, et l'on a vu une kyrielle de films de la franchise, dont le premier en 1968 (qui n'a jamais été dépassé, vu sous cet angle scénaristique).

Ce film est donc subversif, et c'est bon. Même si l'introduction est aux antipodes de la subversion : on est dans un rituel (plein de charme et d'olympisme), avec une longue introduction de végétations et de hauteurs, pleine d'action et de vertige (qui laisse au passage deviner les restes d'un monde antérieur). Introduction émouvante en ce sens, émotion que l'on retrouvera à la fin du film.

Entre les deux, un vrai sujet (l'originalité du film et sa difficulté) : l'existence d'un royaume et d'un tyran, qu'on voit reprendre les recettes de nos tyrans à nous (du présent ou du passé) pour s'imposer. Autre leçon de choses (qu'on apprend moins à l'école) ! Et à côté de ça, un troisième sujet qui s'insère, la présence humaine (plus parcimonieuse que la bande-annonce ne l’annonce) : une héroïne, puis un collabo qui est le rôle le plus étonnant (et le seul dont on connaît l'acteur William Macy). Mais avec ces derniers sujets, le corps du film nous perd un peu sur le sens des événements (notamment ce qu'a en tête l'héroïne) : il y a comme une confusion, maintenue, qui n'aide pas le suspense. De plus, même en plein imaginaire, le vraisemblable est essentiel, et ici le vraisemblable est parfois défaillant…

Sinon, émotionnellement, la montagne d'effets spéciaux n'étonnent plus (c'est ainsi malheureusement —ou heureusement, l'art n'étant pas qu'une forme). Ça en ennuira même beaucoup, en plus de certaines longueurs... 99% du film est joué par des acteurs qui n'ont que les yeux pour les reconnaître (motion capture) —les reconnaît-on d’ailleurs ?! Mais on a adoré la voix (anglaise) du sage Raka, l'orang-outan, qui déjà au naturel à l'air d'un vieux sage. Les gorilles sont les méchants (aucun ne l'est pas, dommage). Les malins sont évidemment les chimpanzés (aucun ne l'est pas, c'est dommage aussi). Mais les rois du film sont les aigles.

A.G.

Pleinement embarqué, voir en admiration constante sur le style et la forme dans la première heure, il n'aura pas fallu longtemps pour que l'enthousiasme retombe. Après une mise en place visuellement parfaite du nouveau royaume animal, avec ses nouveaux enjeux et un nouveau conflit, sans précipitation et de façon très méthodique, il n'aura fallu qu'un bref détour pour que soudainement nous tombassions nez à nez avec un troupeau d'humains, façon Raquel Welch dans Un million d’années avant J.C. (1966). Mais que s'est-il passé? Un manque de projection pour imaginer la race humaine continuer à tailler ainsi des bikini dans de la peau de phoque. Un manque de lucidité qui va malheureusement se poursuivre avec une histoire plutôt confuse et des séquences plutôt anecdotiques. L'intrigue plonge mollement dans un huis clos avec l'arrivée du personnage principal dans le nouveau Rome, avec son nouvel empereur. Tout ça pour révéler l'autre personnage important, celui de Nova, interprété par la trop pimpante Freya- The Witcher- Allan et ses pantalons troués façon Zara. La conclusion laisse penser que la suite de cette nouvelle trilogie saura sans doute proposer une succession de rebondissements digne de cette saga, mais contrairement aux origines (2011), le film de Wes Ball ne laisse pas que de bons présages.

Scènes inutilement longues et ennuyeuses. Scènes de faux suspense inutiles car on en devine l’issue.
Le plus mauvais de toute la saga !
Seules les 10 dernières minutes sont intéressantes,
Pour le reste on s’ennuie ferme

Pour moi pas véritablement le meilleur film de la série. Un manque de souffle dès le début et puis l intrigue met un peu de temps à s installer et reste assez creuse . Les effets spéciaux sont réussi mais est ce ça valait vraiment le coup de relancer une production ? .

J’avais quelques incertitudes concernant ce projet mais finalement c’est pas si mal que ça ! Le film est un peu long sur les bords, cependant la qualité des effets spéciaux et l’efficacité de la mise en scène élèvent globalement le niveau.

S’il y avait un nouveau volet, espérons qu’il soit mieux que celui-ci : des longueurs, les dialogues limités…
Déçue par rapport aux 2 premiers

Encore des partis pris très discutables, enfin on passe quand même un bon moment, rien à voir avec l'atmosphère du film de 1968 qui pour moi restera à jamais le meilleur de tous, et le clin d'oeil à celui-ci sont justement trés nombreux. Des singes à poils sans zizi OK ??, heureusement que l'action et les effets spéciaux sont satisfaisants car le reste est très bébête pour rester dans le thème.