Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Amusant souvent et émouvant pourtant, jamais triste et toujours captivant, "La Vie domestique", servi par des interprètes impeccables, est l'oeuvre d'une cinéaste talentueuse, dont la modestie apparente et la discrétion font aussi le prix.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) d’une implacable justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Danièle Heymann
Un film merveilleusement juste.
Positif
par Eithne O'Neill
(...) ce film, en toute modestie, capte une vérité de ton universelle.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Le portrait atrocement lucide, empathique et drôle d'une aliénation qui piège les générations. (...) La mise en scène, fluide et épanouie, accompagne l'acte de résistance de Juliette à cet engluement subi.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
par Anne Diatkine
Il faut du talent et une interprète d'exception pour filmer la vie qui se délite, l'angoisse qui gagne, et que ce soit captivant. Isabelle Czajka a les deux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) l'histoire de cette mère qui se morfond dans une banlieue cossue éclaire avec justesse les logiques insidieuses pesant encore sur les femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Franck Nouchi
Un propos intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Elsa Badanelli
C'est gai, c'est triste et c'est magistralement interprété, notamment par Emmanuelle Devos. Entre “Desperate Housewives” et Virginia Woolf, cette œuvre au féminin est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Entre rire et amertume, c'est un tableau de société vif-amer que Isabelle Czajka ("L'année suivante", "D'amour et d'eau fraîche") est allée puiser dans un roman de Rachel Cusk, Arlington park.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Pamela Pianezza
Coup de blues possible à la sortie.
Télérama
par Pierre Murat
Sur ces bourgeoises un peu vaines, Isabelle Czajka pose un regard souvent féroce (on sourit beaucoup), mais toujours complice : elle n'en fait pas les figurines d'un soap opera à la "Desperate Housewives", mais des êtres à la Virginia Woolf, cernés par l'inconsistance et leur inutilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par François Le Duc
(…) un film fort, à l’ambiance oppressante (…)
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Czajka parvient, sans cynisme ni volontarisme, à pointer quel déséquilibre mine l’existence de ses personnages : le mélange atone du plein et du vide.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Une singulière et féroce immersion dans l'enfer de la middle class française.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
Entre empathie et cynisme, la frontière est parfois floue. (...) Si cette étude de mœurs sonne juste, sa reconstitution sent le factice. (...) Sauvé par son humour douloureux, le film garde une sorte de distance qui fait que l’on glisse sur cette "Vie domestique" sans y adhérer.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Dommage que cette chronique clinique baigne dans une ambiance irréelle. Reste l'impeccable Emmanuelle Devos, qui (...) donne de la chair à ce film désincarné.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Critikat.com
par Benoît Smith
Ce qu’il y a de plus désagréable dans "La Vie domestique" n’est même pas le caractère de cliché de ses constats, mais le fait que la scénariste-réalisatrice leur sacrifie tout ce qui pourrait leur donner une chair, à commencer par ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
À l’instar de l’héroïne, on s’ennuie ferme dans ce film qui se noie dans une espèce de torpeur irréversible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Bruno Icher
Que les hommes en prennent ici plein la musette relève d’une certaine évidence, mais en faire un tel ramassis de crétins finit par desservir la pertinence du film. (...) Dans le désir manifeste de bien se faire comprendre, Czajka a multiplié les scènes frôlant sans cesse la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
Amusant souvent et émouvant pourtant, jamais triste et toujours captivant, "La Vie domestique", servi par des interprètes impeccables, est l'oeuvre d'une cinéaste talentueuse, dont la modestie apparente et la discrétion font aussi le prix.
Le Parisien
(...) d’une implacable justesse.
Marianne
Un film merveilleusement juste.
Positif
(...) ce film, en toute modestie, capte une vérité de ton universelle.
TéléCinéObs
Le portrait atrocement lucide, empathique et drôle d'une aliénation qui piège les générations. (...) La mise en scène, fluide et épanouie, accompagne l'acte de résistance de Juliette à cet engluement subi.
Elle
Il faut du talent et une interprète d'exception pour filmer la vie qui se délite, l'angoisse qui gagne, et que ce soit captivant. Isabelle Czajka a les deux.
La Croix
(...) l'histoire de cette mère qui se morfond dans une banlieue cossue éclaire avec justesse les logiques insidieuses pesant encore sur les femmes.
Le Monde
Un propos intelligent.
Les Fiches du Cinéma
C'est gai, c'est triste et c'est magistralement interprété, notamment par Emmanuelle Devos. Entre “Desperate Housewives” et Virginia Woolf, cette œuvre au féminin est une réussite.
Ouest France
Entre rire et amertume, c'est un tableau de société vif-amer que Isabelle Czajka ("L'année suivante", "D'amour et d'eau fraîche") est allée puiser dans un roman de Rachel Cusk, Arlington park.
Première
Coup de blues possible à la sortie.
Télérama
Sur ces bourgeoises un peu vaines, Isabelle Czajka pose un regard souvent féroce (on sourit beaucoup), mais toujours complice : elle n'en fait pas les figurines d'un soap opera à la "Desperate Housewives", mais des êtres à la Virginia Woolf, cernés par l'inconsistance et leur inutilité.
aVoir-aLire.com
(…) un film fort, à l’ambiance oppressante (…)
Cahiers du Cinéma
Czajka parvient, sans cynisme ni volontarisme, à pointer quel déséquilibre mine l’existence de ses personnages : le mélange atone du plein et du vide.
Les Inrockuptibles
Une singulière et féroce immersion dans l'enfer de la middle class française.
Paris Match
Entre empathie et cynisme, la frontière est parfois floue. (...) Si cette étude de mœurs sonne juste, sa reconstitution sent le factice. (...) Sauvé par son humour douloureux, le film garde une sorte de distance qui fait que l’on glisse sur cette "Vie domestique" sans y adhérer.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Le Journal du Dimanche
Dommage que cette chronique clinique baigne dans une ambiance irréelle. Reste l'impeccable Emmanuelle Devos, qui (...) donne de la chair à ce film désincarné.
Critikat.com
Ce qu’il y a de plus désagréable dans "La Vie domestique" n’est même pas le caractère de cliché de ses constats, mais le fait que la scénariste-réalisatrice leur sacrifie tout ce qui pourrait leur donner une chair, à commencer par ses personnages.
Le Figaroscope
À l’instar de l’héroïne, on s’ennuie ferme dans ce film qui se noie dans une espèce de torpeur irréversible.
Libération
Que les hommes en prennent ici plein la musette relève d’une certaine évidence, mais en faire un tel ramassis de crétins finit par desservir la pertinence du film. (...) Dans le désir manifeste de bien se faire comprendre, Czajka a multiplié les scènes frôlant sans cesse la caricature.