Derniers Avis sur Ponyo sur la falaise

Encore et toujours un jolie compte de la part de miyazaki. Une oeuvre plus comptemplative que réellement prenante, avec ce grain visuel si spécifique, et ces univers si coloré et surprenant. L'histoire est extrêmement mignonne, on se laisse facilement bercer par ces flots... Pour ma part, ce n'est pas la plus grande de ces œuvres, pas assez d'excentricité, et trop de mignonnerie. Bref, un classique à regarder, parfait dans un mood posé prêt à plonger dans la douceur et le bonheur mignon.

"Ponyo sur la falaise" est sûrement pour moi le plus beau graphiquement des Ghibli.
En effet le travail de l'eau est impressionnant, les scènes sous l'eau ou sur l'eau sont juste magistrales, enivrantes, la diversité des espèces marines joue aussi beaucoup.
L'autre grand point fort du film, c'est ces personnages. Ils sont tous attachants que ça soit les enfants qui sont juste trop mignons et gentils, les adultes avec Lisa, qui est une femme forte élevant seul son fils mais il y a surtout les résidentes. Elles sont justes tellement mignonnes, pleine de gentillesse et drôles !
Malheureusement pour moi le film n'est pas parfait au niveau de son scénario, qui est trop complexe et donc pas assez expliqué. L'histoire de dimension, du grand sorcier, de la déesse des océans est trop effleuré, peut être qu'avec plus le temps, le film aurait pu avoir plus de détails !

En conclusion, c'est peut être la nostalgie qui parle, mais pour moi c'est un des meilleurs Miyazaki

Toute mon enfance !! L’univers est vraiment fantastique… L’histoire est touchante et les dessins sont vraiment adorables.

Dans le panorama luxuriant du cinéma d'animation, "Ponyo sur la falaise" de Hayao Miyazaki se distingue par son exploration enfantine et sa fantaisie sous-marine, teintée d'une mélodie visuelle qui résonne longtemps après la fin du film. Cette œuvre, où la magie et le quotidien s'entremêlent avec une douceur inégalée, transporte le spectateur dans un univers où les frontières entre l'humain et le fantastique se brouillent avec une aisance poétique.

L'histoire de Ponyo, cette créature marine au désir ardent de vivre parmi les humains, se déploie avec une telle innocence et une curiosité enfantine qu'elle en devient universellement attachante. La rencontre avec Sôsuké, jeune garçon aussi brave qu'attendrissant, est le catalyseur d'une aventure qui déborde de tendresse et d'espoir. Le film brille par sa capacité à capturer l'émerveillement des premières amitiés et l'importance des promesses enfantines, tout en enveloppant ses protagonistes dans une toile de défis écologiques et familiaux qui résonnent profondément dans notre conscience collective.

Cependant, malgré ces qualités indéniables, le film navigue par moments dans des eaux moins maîtrisées. L'ambition de Miyazaki de tisser une riche tapestrie narrative se heurte parfois à un rythme qui peut sembler inégal, oscillant entre la majesté de séquences marines époustouflantes et des moments de calme qui, bien que poétiques, peuvent parfois freiner l'élan de l'aventure. De plus, la complexité des enjeux écologiques, bien que traitée avec soin, peut parfois échapper aux plus jeunes spectateurs, laissant un fossé entre l'intention didactique du film et sa réception ludique.

La palette visuelle de "Ponyo sur la falaise", empreinte de l'utilisation de l'aquarelle, offre une fraîcheur et une vivacité qui enrichissent chaque scène, conférant au film une esthétique qui évoque les rêves les plus doux de l'enfance. La musique, composée avec brio par Joe Hisaishi, enveloppe le récit dans une atmosphère qui oscille entre la mélancolie et la joie pure, accentuant les moments de triomphe et de tendresse avec une délicatesse qui touche le cœur.

En conclusion, "Ponyo sur la falaise" est un film d'une beauté irréprochable, porté par des personnages mémorables et une histoire qui célèbre les liens indéfectibles de l'amitié et de la famille. Si certains aspects du récit et du rythme auraient pu bénéficier d'une plus grande cohésion, l'œuvre dans son ensemble demeure une expérience cinématographique qui émerveille et inspire. Un voyage à travers les vagues de l'imagination de Miyazaki qui, bien que parfois instable, reste un incontournable pour les amateurs d'animation et de récits qui font écho à la pureté et à la complexité de l'enfance.

En même temps je ne suis pas fan des animés (désolé Mr. Miyazaki) mais je n'avais rien d'autre à regarder. Alors j'ai tenté mais j'aurais pas du. Le film paraît être une éternité et l'histoire est pas ouf

Même si le film est librement inspiré du conte, « La petite sirène » (1837) du Danois Hans Christian ANDERSEN (1805-1875), le réalisateur japonais a su, d’abord, le « dépoussiérer » (une sirène de 15 ans tombe amoureuse du prince qu’elle a sauvé lors d’un naufrage) et ensuite, créer un monde bien à lui, d’une grande inventivité graphique et narrative : c’est Sōsuke, 5 ans, qui trouve au bord du rivage, au pied de la falaise où est perchée sa maison (où vit sa mère, Lisa et son père, Kōichi, souvent parti car capitaine d’un navire), un poisson à tête humaine (emporté par un chalut qui raclait le fond de la mer avec d’innombrables détritus, et emprisonné dans un pot de verre) qu’il nomme Ponyo et qu’il décide de protéger. On retrouve la créativité du réalisateur dans la représentation de l’océan, des vagues qui prennent la forme de gros poissons (impressionnants lors du tsunami) et qui aident Fujimoto, spoiler: sorcier, ancien humain, aux cheveux longs et roux et père de Ponyo, à retrouver sa fille
. C’est une ode à l’océan (superbes fonds marins au début du film, avec de multiples méduses et des animaux datant du Dévonien [dit âge des poissons, période géologique (-419 à -359 millions d’années) de l’ère primaire ou paléozoïque, précédant le Carbonifère], à l’enfance (avec le bateau-jouet à moteur pop-pop, propulsé grâce à une bougie), à la différence (Sōsuke doit aimer Ponyo telle qu’elle est, et elle, renonçant à ses pouvoirs magiques) et où se côtoient les générations (Lisa travaille dans la maison de retraite « Les tournesols », voisine de l’école de Sôsuke). On sent aussi l’influence européenne appréciée du cinéaste, notamment à travers la musique de Joe HISAISHI (8e collaboration sur 10) qui s’est inspiré, lors du tsunami, de « La chevauchée des Walkyries », prélude de l’acte III de l’opéra « La Walkyrie » (1856) du compositeur allemand Richard Wagner (1813-1883), d’autant que le vrai prénom de Ponyo, est Brunehilde, fille du roi Wotan à qui elle s’oppose en voulant épouser Siegfried (dans l’œuvre de Wagner).

La complicité naturelle qui lie Sosuke et Ponyo est touchante et concrétise le fait que les sentiments qu'ils ressentent l'un pour l'autre dépassent leurs différences physiques et d'univers.
Le film souligne la beauté de la bienveillance envers les autres et évoque également l'importance, en tant que parents, d'écouter et d'encourager ses enfants dans ce qu'ils entreprennent.

Un dessin animé japonais captivant. Des images très énigmatiques. Une histoire incroyable fortement adaptée à des enfants à partir de 5 ans. Après c'est un univers particulier qui peut ne pas plaire à tous. Les thèmes abordé comme l'environnement, le dérèglement climatique parleront aux adultes mais la compréhension ne sera pas forcément évidente pour les plus jeunes. Les personnages sont attachants et c'est avec plaisir que nous les accompagnons tout au long de leur aventure.

Par où dois je commencer ? Je sais pas vraiment, le fait que plus petit, j'arrêtais pas de demander à ma mère: "Maman ! Je veux revoir ponyo !". Et aussi que même aujourd'hui, quand je vais mal ou je suis malade, je m'installe devans Netflix, et je regarde ponyo sur la falaise. C'est vraiment le seul film auquel j'arrive pas et auquel je n'arriverai jamais à trouver ne serait-ce qu'un seul petit défaut. C'est une oeuvre d'art tout simplement!

Cet animé nous fait voyager ; entre une intrigue originale et adorable, des dessins superbes, un fond sonore très naturel et agréable, on est complètement transporté. C'est un petit film très agréable à regarder, qui met le sourire et le baume au coeur. J'ai particulièrement aimé voir les coupes de nourriture, les moments avec les retraitées, la détermination de la mère et la curiosité enthousiaste de Ponyo.

Non vraiment, un conte superbement illustré, j'ai savourée ce long-métrage d'une douceur incontestable.

Préoccupations écologistes, humanisme sincère, attention aux aîné(e)s, "Ponyo sur la falaise" réserve de belles surprises, un dessin toujours aussi beau et un monde parallèle, sous-marin, fascinant. Malgré un scénario que l'on pourrait croire destiné aux jeunes enfants, les péripéties de la narration et son dynamisme entraînent tous les spectateurs, de 7 à 77 ans.

Hayao Miyazaki s'inspire de deux œuvres majeures dont "La Petite Sirène" , le conte d'Anderson pour ce personnage mi- poisson rouge mi- fille intitulé Ponyo et " Le capitaine Nemo" de Jules Verne pour celui de Fujimoto.

vrmt fort ce film toujours un vrai plaisir les films de miyazaki que ce soit les images si pur si propre à son style où l'histoire qui nous emmene dans un univers passionnant

Ponyo sur la falaise est une belle œuvre remplie de poésie. L'imagination de Miyazaki nous permet de rentrer dans cette jolie fable de l'océan avec quelques petits messages glissés sur l'environnement et la différence.Le dessin et la musique permettent d'être éblouis.

Un petit Miyazaki à la fois écologique et rafraîchissant. Les personnages sont pures, attachants et drôles. Visuellement très réussie, cette oeuvre nous rappelle les fondements de l'humanité qui sont en disparition dans notre temps.