Certains passages de Roger Waters The Wall donnent véritablement la chair de poule. Alors que la majeure partie du concert revisite la période phare de ce concept album de 1979 des Pink Floyd, nous retrouvons Roger Waters dans un roadtrip chargé d’émotion, à mi-chemin entre un live épique et un pèlerinage familial. La beauté de ce film est à la fois visuelle et sonore.
Tout le long du concert, nous sommes aux côtés de Roger Waters : de la scène d’ouverture bouleversante où il joue un solo de trompette en hommage aux défunts de sa famille, jusqu’au final hypnotique du concert, où la scène semble exploser en plein vol alors qu’un bombardier la survole. Pendant chaque larme silencieuse, chaque frissonnement de la basse, chaque effet visuel à couper le souffle, chaque cri de fan.
Rythmés par les tubes des Pink Floyd comme Another Brick et Comfortably Numb, le film monte en pression, et avec Dolby Atmos c’est comme si vous assistiez au concert en live et non comme simplement le regarder.
Plutôt que de mélanger plusieurs sonorités comme le font la plupart des systèmes sons, Dolby Atmos peut projeter 128 sons différents à la fois pour créer une nouvelle manière de s’immerger totalement dans les meilleurs films. Grâce aux mélangeurs diffusants des sons différents tout autour de la salle, vous vous sentirez d’abord sur scène avec le groupe alors qu’ils se lancent dans un solo strident de guitares, puis en train d’hurler « Hey, teacher – leave them kids alone ! » dans la foule déchaînée. Et lorsque le concert atteindra son climax, vous ressentirez effectivement le besoin de vous mettre à l’abri alors que The Wall s’effondre symboliquement autour de vous.
C’est une expérience à ne pas manquer. Roger Waters The Wall sera visible dans les salles Dolby Atmos à partir du 29 septembre.
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